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Le comprimé
Si je peux aider une personne qui est devant une situation peu banale : faire avaler un petit comprimé à un chat, je serais heureuse de le faire.
Les chats ces paisibles animaux n’acceptent aucune contrainte. Moi qui en ai quatre : là je m’éloigne du sujet qui me préoccupe en ce moment, faire avaler un petit comprimé à mon chat, eh ! Bien figurez-vous il m’en arrive une peu banale, un cousin de Bandit (ils sont sensibles ces animaux) noir et blanc, une copie conforme sauf son poil est un peu plus long vient me faire de doux yeux le coquin. Il est entrain ce petit animal de mettre ma conscience en danger ! Il s’est pris de sympathie pour moi, je me flagelle « au figuré »j’ingurgite, je malaxe mes désirs inavoués, toutes mes raisons honnêtes j’excuse toutes mes raisons malhonnêtes devant ce chat, non, il n’est pas pensable de donner une caresse à ce chat ! J’ai retrouvé la raison, ouf. Cet inconscient …! Tous les tours qu’il allait me jouer ! Où ça s’était fourré ! Le perfide me sortait de la réalité : un chat entouré de quatre chats qui n’en veulent pas, vous pensez ?
J’ai rallumé le central et dans ma chambre sur le radiateur Lucie se prélasse, son corps chaud, doux, souple, son cerveau vide. Malgré le traitement que je lui inflige et qu’elle vit comme sa fin certaine, elle s’accroche à mes basques, me suit, miaule, se frotte à mes jambes, s’empare de mes genoux. Heureusement ils dorment beaucoup les chats !
Mon subconscient le vicieux qui cherchent à parasiter toutes mes nobles pensées, mon désir d’être belle, bonne, attentive aux autres, présente, aimante, courageuse, mon désir de compassion pour moi et pour les autres. Voilà ! Je m’égare encore du sujet principal : faire avaler un petit comprimé à un chat. Ceci dit mon chat est doué pour la vie et de ne point vouloir mourir il veut. Les soins je dois lui donner pour le faire durer dans le temps ! Puisque c’est son désir ! Ainsi que mon désir.
C’est le problème de ma chatte Lucie, la compagne de mon ordinateur.
Pour faire avaler un petit comprimé à un chat, pour éviter les dégâts : morsures et autres et c'est légion ! Il faut d’un geste assuré lui ouvrir la mâchoire et lui mettre le comprimé sur la langue, j’insiste sur ça, car combien de fois il est parti sous la langue; la déglutition ne pouvant pas se faire elle le rejette !! « Je précise le comprimé ne doit pas être écrasé »
Bien à vous les heureux amoureux des chats.
Liliane Boyrie 2010-05-12
Une petite précision : ce chat qui vient n’est pas abandonné
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1 Booz s’était couché de fatigue accablé ;
Il avait tout le jour travaillé dans son aire ;
Puis avait fait son lit à sa place ordinaire ;
Booz dormait auprès des boisseaux pleins de blé.
2 Ce vieillard possédait des champs de blé et d’orge ;
Il était, quoique riche, à la justice enclin ;
Il n’avait pas de fange en l’eau de son moulin ;
Il n’avait pas d’enfer dans le feu de sa forge.
3 Sa barbe était d’argent comme un ruisseau d’avril.
Sa gerbe n’était point avare ni haineuse ;
Quand il voyait passer quelque pauvre glaneuse :
— Laissez tomber exprès des épis, disait-il.
4 Cet homme marchait pur loin des sentiers obliques,
Vêtu de probité candide et de lin blanc ;
Et, toujours du côté des pauvres ruisselant,
Ses sacs de grain semblaient des fontaines publiques.
5 Booz était bon maître et fidèle parent ;
Il était généreux, quoiqu’il fût économe ;
Les femmes regardaient Booz plus qu’un jeune homme,
Car le jeune homme est beau, mais le vieillard est grand.
6 Le vieillard qui revient vers la source première,
Entre aux jours éternels et sort des jours changeants ;
Et l’on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens,
Mais dans l’œil du vieillard on voit de la lumière.
7 Donc, Booz dans la nuit dormait parmi les siens.
Près des meules, qu’on eût prises pour des décombres,
Les moissonneurs couchés faisaient des groupes sombres ;
Et ceci se passait dans des temps très anciens.
8 Les tribus d’Israël avaient pour chef un juge ;
La terre, où l’homme errait sous la tente, inquiet
Des empreintes de pieds de géants qu’il voyait,
Était encor mouillée et molle du déluge.
9 Comme dormait Jacob, comme dormait Judith,
Booz, les yeux fermés, gisait sous la feuillée ;
Or, la porte du ciel s’étant entre-bâillée
Au-dessus de sa tête, un songe en descendit.
10 Et ce songe était tel, que Booz vit un chêne
Qui, sorti de son ventre, allait jusqu’au ciel bleu ;
Une race y montait comme une longue chaîne ;
Un roi chantait en bas, en haut mourait un Dieu.
11 Et Booz murmurait avec la voix de l’âme :
— Comment se pourrait-il que de moi ceci vînt ?
Le chiffre de mes ans a passé quatre-vingt,
Et je n’ai pas de fils, et je n’ai plus de femme.
12 — Voilà longtemps que celle avec qui j’ai dormi,
Ô Seigneur ! a quitté ma couche pour la vôtre ;
Et nous sommes encor tout mêlés l’un à l’autre,
Elle à demi vivante et moi mort à demi.
13 — Une race naîtrait de moi ! Comment le croire ?
Comment se pourrait-il que j’eusse des enfants ?
Quand on est jeune, on a des matins triomphants ;
Le jour sort de la nuit comme une victoire ;
14 — Mais, vieux, on tremble ainsi qu’à l’hiver le bouleau ;
Je suis veuf, je suis seul, et sur moi le soir tombe,
Et je courbe, ô mon Dieu ! mon âme vers la tombe,
Comme un bœuf ayant soif penche son front vers l’eau.
15 Ainsi parlait Booz dans le rêve et l’extase,
Tournant vers Dieu ses yeux par le sommeil noyés ;
Le cèdre ne sent pas une rose à sa base,
Et lui ne sentait pas une femme à ses pieds.
16 Pendant qu’il sommeillait, Ruth, une moabite,
S’était couchée aux pieds de Booz, le sein nu,
Espérant on ne sait quel rayon inconnu,
Quand viendrait du réveil la lumière subite.
17 Booz ne savait point qu’une femme était là,
Et Ruth ne savait point ce que Dieu voulait d’elle.
Un frais parfum sortait des touffes d’asphodèle ;
Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala.
Victor Hugo
Je me souviens de cette poésie qui me ramène en arrière. J'avais retenu quelqes mots que je réississais à enchaîner, Cette magnifique poésie que je relis grace à la fleur asphodèle est une de mes préférées. Toujours d'actualité et toujours aussi belle. Beaucoup d'entre vous la connaisse, on l'apprend à l'école primaire je crois;
Bien amicalement, Bien le bonjour en cette journée.
05 09 2010 Liliane Boyrie
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Rédigé par Boyrie à 09:35 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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J'ai découvert par hasard cette fleur sauvage juste avant la fin de sa floraison elle s'est installée contre une haie, protégée des vents du nord; Il faut attendre 1 an maintenant pour pouvoir l'admirer fleurie. Mon enclos est un mélange d'arbustes plantés, de fleurs sauvages et de sapins qui ont poussé spontanément, le sol sablonneux leur convient, plusieurs sont déjà grands ! Il sont tellement beaux que je reste devant eux en contemplation et en méditation.
La fleurs asphodèle est si fine, si délicate, si divinement belle que de la voir dans la perfection de sa beauté on est envoyé au delà, bien au delà, et songeuse, les yeux fixés sur la terre, la riche terre qui nous envoie ces cadeaux, émue, étourdie devant l'étrange beauté de ces fleurs sauvages, je pense à vous mes amis qui venez sur mon blog.
Je vous présente la fleur aspholète
Liliane Boyrie 05 08 2010
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Rédigé par Boyrie à 16:45 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 13:06 | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Avec mon ordinateur qui est malencontreusement installé dans ma pièce principale : la salle de séjour, et qui est devenu pour moi, comme on boit et on mange, l’endroit où je vais plusieurs fois par jours pour l’interroger le fouiller, le questionner.
Dans la pièce à coté, il y a la télévision. Je laisse la porte ouverte car j’aime entendre la télévision lorsque je suis devant mon ordinateur « ne pas chercher la logique » J’aime entendre les voix lointaines égales comme une mélodie. Je choisis une émission où il n’y a pas d’éclats de voix, de temps en temps je me lève pour aller voir, ça me contente !! Comme mon coin est l’ordinateur, pour me reposer et reposer mes yeux je regarde par la grande baie vitrée mon tilleul. Il prend tout l’espace devant mes yeux, il m’apaise, me sort des bruits, m’enlève les tourments qui pourraient gagner mon cœur.
J’étais rêveuse devant mon tilleul, un oiseau picorait dans l’herbe, je l’observai, l’appareil de photos prêt ; Il picorait tranquille si occupé à attraper ses petites graines qui avaient l’air de lui convenir puisque en toute quiétude il s’y adonnait déjà depuis plus d’une heure. J’eu le loisir de le photographier à mon grès. J’interrogeai Laurence sur le phénomène de l’oiseau qui ne s’affolait pas (au moment où j’écris il est à nouveau là) J’eu la crainte qu’il pouvait être blessé, qu’il ne pouvait pas voler. Pour me rassurer je me suis approchée de lui, à un mètre s’il vous plait ! Et j’ai vu ses magnifiques ailes.
Il a la chance que Balou ne soit plus là. Je me souviens qu’au levé du lit entrant dans ma salle de séjour où la chatière est installée, m’être trouvée devant un vrai désastre, un sol jonché de magnifiques plumes blanches ; J’étais anéantie devant cette horreur, et devant Balou tout fier ; J’étais sans voix, sans bras, presque sans jambes. Imaginez le bel oiseau qu’il avait plumé !!
Rédigé par Boyrie à 16:57 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 15:48 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 13:08 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 12:59 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Un bonjour frileux de Lucie et Liliane
Le temps influe beaucoup sur mon moi tout entier ! Peut-être m'apporte t-il la réflextion qui me manque ! Peut être m'amène t-il à rêver? Je reste à regarder mon tilleul et mes idées voyagent plus loin qu'il ne faudrait, Des images, des visages que je retrouve nets, et d'autres plus difficiles à cerner puis le tilleul de plusieurs métres de large et de plusieurs métres de haut qui a le bonheur de pouvoie s'étaler, qui me captive (il faut dire que je le vois parfaitement de mon ordinateur : je tourne la tête d'un quart de tour ) Un silence impressionnant dehors et là dans la maison où Laurence dort.
Lilian Boyrie 05 06 2010
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Ce temps aujourd’hui ne laisse aucun espoir, les arbres sont beaux dans leur tristesse, je les regarde, leurs feuilles sont vierges de toutes souillures, alanguies elles se balancent tendrement, frémissent au moindre vent puis dans un mouvement ascendant, descendant fouettées par un vent plus violent elles balancent leur magnifique parure m’offrant ce splendide décor plein de vie.
Liliane Boyrie
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Nous nous comprenons le chat et moi. Des yeux inquiets, des tourments à n'en plus finir, des yeux douloureux.
- Alors tu m'en donnes des croquettes oui !
Et sans arrêt je lis dans leurs yeux cette inquiétude. et faible devant leur angoisse je cède, ils en profitent ! Je dois réagir. Ne pas céder à ma faiblesse, ne pas me laisser avoir, car ce sont eux qui gouvernent ma vie les monstres, comment je fais pour me faire avoir ! Je vais me mettre en guerre avec mes chats, les fusiller du regard, leur parler avec une voie tonitruante.
- Pensez-vous que je vais gagner ?
Liliane Boyrie 05 05 2010
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Rédigé par Boyrie à 10:53 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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J'ai retrouvé dans un classeur ces dessins de chats travaillés à l'encre de chine. Je vais dans mes souvenirs, et je me souviens que je pestais après eux, car ils bougeaient toujours, alors j'essayais tant bien que mal de les représenter dans quelques attitudes charmantes qu'ils ont
Liliane Boyrie 05 05 2010
Rédigé par Boyrie à 10:37 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 10:28 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 09:45 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 15:19 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Nous commençons la journée ensemble Lucie et moi. Lucie a 16 ans, frileuse elle attend un rayon de soleil, me regarde d'une façon qui me donne un sentiment de culpabilité, comme si j'y étais pour quelque chose ! Bon ceci étant, avec Lucie, pour les amoureux des chats et les autres je vous souhaite un deux mai paisible et plein des bonnes choses que vous souhaitez
Liliane Boyrie 2 05 2010
Rédigé par Boyrie à 10:09 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 10:09 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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