Les fautes
Mes fautes se sont succédé se sont accumulé puis se sont interrompu j’ai la hardiesse de le dire. Dans l’énorme tâche que je m’infligeais j’allais de bric et de broc, j’avalais les mots nouveaux, m’installais dans l’univers d’internet aidées par des bonnes volontés avec le courage de l’innocence. Les jours se sont succédé le travail s’est accumulé les fautes aussi. Alors, devant le désastre occasionné par le désordre, je devais passer des jours (je n’exagère pas) pour mettre en état de compréhension cette histoire que j’aimais.
Ce fut fait.
Je dois être calme, éviter les impétueux accès de passion. Malgré tous mes efforts je constate l’irréversibilité de la chose mais je dois rester calme pour installer l’ordre.
C’est tellement plus facile pour trouver ce qu’on cherche. Tout ceci pour vous donner une idée de mon parcours difficile.
En cette belle saison où je vois bourgeonner éclore des milliers de petites fleurs et où chaque année je cherche à faire ma plus belle photo je reste muette d’admiration devant un prunier sauvage je me trouve avec les thons, les abeilles, les guêpes, sous différents angles nous goûtons la beauté de cet arbre.
Une fois encore je pars à la belle aventure de la photo dans mon terrain c’est un repos pour mon corps mon âme. J’espère mon cher ami lecteur ma chère amie lectrice continuer encore un bout de chemin pour nous faire plaisir ensemble.
Merci à vous tous.
Liliane Boyrie 01/04/12