06/05/2012
Je trouve difficile d'extirper de mon cerveau de mon âme, d'un stylo qui marche mal car je soupçonne qu'on s'en est servi pour écrire, d'une plaque en souffrance qui a servi bizarrement de coussin! A Lucie le chat dans une belle indifférence, le non respect et dont les causes à effets me paraissent liés et m'envoient dans une gymnastique surhumaine qui sans me décourager malgré la souffrance, le doute : le désir de bien faire l'emporte.
C'est évident Lucie est pour quelque-chose dans les difficultés qui s'enchaînent; elle s'installe sans vergogne dans la plus grande indifférence dessus; J'ai trop d'indulgence pour ce chat ! Elle est blottie contre moi en ce moment. Son mal progresse, je lui pardonne, elle claudique doucement, réclame furieusement ses croquettes, je cours lui donner, elle baisse un peu plus chaque jour. Je lui donne son comprimé, elle m'aide avec de pauvres efforts, elle subit tous les jours sa petite torture ne semble pas m'en vouloir car elle me colle !
Aujourd'hui le ciel est nuageux à Pessac, le temps est frais, je profite de vous présenter mes imaginations pour écrire cette lettre vous parler des petits exploits de ma journées qui se traduisent par de l'ordre dans la maison, le rangement dans les armoires, je vais aussi tenter de faire aller mon imagination plus loin!
J'espère amis être en vous dans un moment de la journée, j'espère vous distraire.
Bien amicalement : Se revoir bientôt avec mon roman monsieur de Risquetou et mademoiselle Délice : à bientôt
Liliane Boyrie