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Liliane Boyrie 2009-06-16
Cette histoire est si banale ! Pourtant je ne peux m’empêcher de vous la raconter.
J’étais devant le guichet des tickets de métros à la gare Montparnasse, et chaque fois malgré la rapidité à laquelle je peux aller, je suis en septième ou huitième position. Je suis habituée au trafic du métro du R E R, de la gare Montparnasse, donc, comme pour la multitude qui passe dans la gare Montparnasse que je croise, j’y suis comme un poisson dans l’eau. L’histoire ne serait pas si banale, je me serais décidée à l’écrire plus tôt ; Elle est inscrite dans ma tête, je lui donne des proportions qu’elle ne devrait pas avoir. Allez savoir ?
Eh ! Bien, voilà. J’attendais donc devant le guichet mon tour pour acheter mon ticket, un monsieur s’avance vers moi, je l’observe avec un reproche dans les yeux car je le soupçonnais de vouloir resquiller. Je ne laisse aucun espace entre moi et la personne qui est devant moi. Ce monsieur s’approche plus près de moi et me demande timidement.
- On peut acheter les tickets qu’on veut ? J’ai besoin de quelques tickets car je ne reste que quelques jours.
- Mais oui monsieur, vous pouvez aussi vous simplifier la vie avec l’achat d’un ticket pour la semaine, mais si vous préférez, vous pouvez acheter le nombre que vous voulez… Timidement il me demande :
- La ligne 6… ?
- Vous l’avez inscrite devant vous, vous suivez les indications, c’est facile ; avec un hochement de tête me désapprouvant :
- Oh…! Ce fut sa réponse.
Une fois descendue du train, je suis mon chemin, chacun suit son chemin, les chemins bifurquent…!. Ce monsieur s’était accroché à moi comme à une bouée de sauvetage malgré mon regard assassin…Et là, mes amis dans le monde froid d’une gare je me suis sentie renaître.
Ce monsieur sa femme et moi nous avons parlé tickets de métro ; j’ai eu l’explication de mon nouveau ticket de métro, que je ne connaissais pas. La dame m’apprit qu’à Toulouse elle s’en servait. Les tourments et l’impatience de son mari coupèrent court à notre conversation.
Cette histoire est banale, mais elle m’a fait retrouver une humanité que j’avais perdue.
J’étais habituée à une vie mécanique dans cette gare, j’ai senti courir dans mes veines la vie où les sentiments de toutes sortes me réchauffaient, la crainte, la peur, le doute, la tension, la colère, un contact aimable, des sourires très rapides certes.
C’est une histoire banale pourtant ! J'y pense souvent….
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Je vous le dis, n’y croyez rien, ces chaises là ne sont pas là uniquement pour le décor, c’est de toute évidence qu’elles ont été installées pour pouvoir passer un agréable moment, regarder butiner une guêpe, prendre des photos si l’instant est opportun, lire, rêver, se reposer. Et pourtant voilà quelques jours que ces chaises sont vides ! Maintenant, c’est à pas de loup que je dois m’approcher des dites chaises avec d’infinies précautions car une armée de frelons frénétiques tournent autour de mes chaises.
Nous avions dérangé un nid de frelons en tondant l’herbe.
Constatant les dégâts, sceptiques, car furieuses ils tourbillonnaient dans tous les sens, nous cherchions un remède Je proposai de mettre de l’essence, puis avec une flammèche de l’enflammer. Eh ! Bien non, on avait beau asperger le nid, mettre le feu, asperger encore, remettre le feu, ils tourbillonnaient toujours, s’éloignaient puis revenaient à la recherche de leur nid !
Il faisait un beau soleil et les chaises étaient toujours vides. Deux, trois jours passèrent…
Quelques remèdes me furent proposés ! J’ai même eu le remède radical de Laurence :
- Appelle les pompiers
Devant ce triste tableau de chaises vides, je pris la décision d’aller chercher un produit qui pourrait les éliminer. J’étais là devant le rayon d’une grande surface dubitative en cherchant parmi les produits de la même marque lequel serait le mieux adapté à mon problème éliminer ces frelons. Abrutie devant cet étalage de produits qui m’étaient offerts je regardai un monsieur qui était près de moi, et je ne pus m’empêcher de lui parler de mon problème. Devant son visage tout réjoui, j’ai eu le sentiment que j’allais aboutir, enfin.
- C’est facile madame, j’ai eu le même problème avec d’énormes bêtes qui arrivaient de Chine Oh ! La ! La ! Et ce brave homme d’aller chercher dans le caddie de sa femme une bouteille en plastique
- Voici la recette.
Il faut couper ladite bouteille au-delà de la moitié. On coupe l’autre extrémité plus courte que la partie basse, on la renverse, goulot en bas, puis on met de la bière brune ainsi que du sirop.
- J’ai appliqué à la lettre ces indications. Je fus toute étonnée de ne rien trouver dans la bouteille, ainsi qu’autour des chaises... Ils étaient partis Les chaises sont toujours vides ! Il pleut ! Je regarde le ciel... Je remercie ce gentil monsieur. Si vous avez un problème de ce genre je vous conseille ce remède.
Bien amicalement. Liliane Boyrie 8 06 2009
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Rédigé par Boyrie à 20:44 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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