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C’EST UNE HISTOIRE DE CHATS
J’ai passé une nuit pleine de turbulences : n’ayez pas de pensées coquines, tels que je vous connais tous et toutes vous y allez tout droit, et pas de jeux de mots non plus, car ma nuit fut un drame auquel je ne m’attendais pas : j’avais perdu Lucie. Je précise pour qui ne la connait pas que Lucie est une chatte à quatre pattes.
Dans mes nuits lorsque je me réveille suite à mes insomnies auxquelles je suis habituée depuis des années ! Je vois mes chats : Lucie « souvent sur mon lit » Minouche, Chiffon, Bandit, je connais leurs habitudes. D’une manière générale ils sont la nuit dans la maison. Cette nuit là il manquait Lucie, je connais ma frileuse Lucie, mais à cette saison me disais-je…Eh ! Bien mes amis, malgré tout je tins à me rassurer de vis us toujours pas de Lucie ! Je commençais à bâtir des histoires et une angoisse me prit, même pire une peur : une impensable chose était arrivée à ma Lucie. J’allais ouvrir les armoires, les tiroirs, les placards : car elle aime se réchauffer et s’isoler dans ces coins. J’allais voir dans mon garage, dans ma cave qui sont à l’extérieur de la maison, j’allais dans la rue afin de me rassurer : A deux heures du matin à l’heure où les honnêtes gens dorment j’appelais désespérément Lucie ! Les chats se cachent pour mourir ! Et là mes amis je compris l’attachement que j’avais pour ce chat. J’ai senti la douleur que sa perte serait ! Cela fait quatre ans et davantage qu’elle m’accompagne sur mon blog. Elle s’installe entre l’écran de l’ordinateur et le clavier, et là elle ondule son corps m’offrant toutes les poses exquises que j’ai mises sur mon blog.
Après m’être torturée, m’être imaginée les pires catastrophes, désespérée, effondrée, constatant en cette nuit tragique, la tragédie de la disparition de Lucie, je vis une ombre se profiler sous la table, je crus voir une apparition, c’était Lucie. Comme toujours avec les chats on ne cherche pas au bon endroit, elle s’était glissée sur une chaise cachée en partie par la nappe. J’avais pensé à cet endroit mais à cette saison ça me paraissait peu probable. Je compris cette nuit là que ce sera un vide lorsqu’elle partira !
Mais amis je voudrais dire à ceux qui ont des chats que nos raisonnements sont anéantis devant cet énigmatique bête, que notre indépendance bascule dans le mauvais sens, et pourtant cette mystérieuse bête vient sur nos genoux, sur notre lit, sur nos fauteuils, là où nous voulons nous asseoir, et nous nous précipitons pour lui ouvrir la porte….
Je sais maintenant que j’aurais de la peine lorsqu’elle partira, j’y tiens beaucoup.
Liliane Boyrie 2010-05-27 .
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Les ombres
Quelques ombres aperçues apparaissent disparaissent au coin d’une allée. Je vais, m’arrête afin de lire les épithètes, une pensée, un visage sur un médaillon, un abandon souvent ! Une émotion, un regret devant le délabrement d’une chapelle, certaines sont de vraies œuvres d’art. Je suis dans le cimetière de Bardine à Angoulème.
Depuis que j’ai ma connaissance je vais à la Toussaint sur la tombe de ma grand-mère que je n’ai pas eu le bonheur de connaître. Je me suis promenée petite d’abord accrochée à la main de ma mère, avec mon mari nous étions interpellés par l’architecture et le parfait alignement de ces tombes toutes pareilles, maintenant je suis seule. Je choisis le dimanche pour éviter les interminables camions « en nombre et en longueur » qui viennent d’Espagne.
Devant la tombe de ma grand-mère que je n’ai pas connue je trouve le doux contacte d’une grand-mère pour sa petite fille, et mon cœur s’emplit de riches pensées.
Mon mari était surpris par l’alignement parfait de ces petites chapelles toutes identiques en pierre et on avait l’impression d’être dans une exposition de chapelles, une sorte de musée. C’était un chantier pour les tailleurs de pierre ! Un métier courant à l’époque je pense, mais rare maintenant !
Je vais par les allées, quiète, le paisible environnement m’envoie vers un univers mystérieux, et je pense à tous les chagrins qu’ont généré les pertes de ces petits enfants de ces jeunes filles mortes souvent de tuberculose, les jeunes hommes mouraient sur le champ de bataille ! Tous les ans je vais sur la tombe de ma grand-mère que je n’ai pas connue je parcours les allées à la recherche du mystère que je n’arrive pas à percer : la mort. Dans le cimetière d’Angoulème où l’architecture des chapelles est si étrange pour célébrer le défunt, j’oublie devant la magnificence d’une tombe les défunts. J’essaie de me coller à la famille et de comprendre quelle tristesse et quelle consolation l’a amenée à exposer cette chapelle aux passants. Je suis désolée de les voir se détériorer, j’ai la consolation de savoir que la ville d’Angoulème les prend à sa charge.
Sur la tombe de ma grand-mère il y avait un arbre, un bel arbre, la tombe voisine en avait un aussi. Ils prenaient des dimensions telles qu’ils furent arrachés. J’ai regretté ces arbres, aussi beaucoup de tombes abandonnées sont remplacées ! Dommage !
Liliane Boyrie 2010-05-21
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Le regard
Il n’y a nulle place particulière lorsque je suis à Paris, nul endroit particulier, nul projet, je vais selon mon désir qui ne me laisse aucun répit jusqu’à ce que je l’aie satisfait.
Ce jour là je me décidai pour aller à Opéra en autobus. (Je connais les lignes par cœur pour les pratiquer : 28 38 68) Et pourtant ce jour là je bûchai devant mon plan, m’accrochai à de longues recherches munie de mes lunettes et de ma loupe. Je m’embarquai pour l’autobus 28 qui va à la gare St Lazare ; Dans mon petit nid que j’arrange avec soin, je dors, je mange, et hop je vais me balader dans Paris que j’adore. Je vais aux grés de mes fantaisies, je rentre fatiguée.
Poussée par l’envie d’aller à Opéra avec la ligne 28 je pris l’autobus sûre de moi. Entourée de gens de tous genres j’étais confiante, rien ne me rassure autant et je me sens bien. J’étais donc installée une place libre à coté. Des gens debout, bizarrement la place était libre jusqu’au moment où une créature qui était conçue pour faire frémir qui la regardait :
- Excusez-moi madame
- je vous en prie.
Je garde messieurs, mesdames à qui je m’adresse en ce moment un visage de femme qui me donna l’impression d’avoir été détruit par un tremblement de terre, l’ossature était bouleversée, c’était effrayant. Et pourtant mes amis, j’ai un nœud dans la gorge en y pensant et une pensée affectueuse pour cette personne. A peine assise elle se tourna vers moi, et je vis un regard, le regard du chien fidèle qui réclame, prêt à tout pour de l’amour, je m’accrochai à mon siège le cœur comblé ; Je demandai du tac au tac à la personne en face l’arrêt pour Opéra ; alors la femme à l'ossature du visage bouleversée se tourna vers moi, m’expliqua, et j’eu l’énorme joie de lui voir un visage humain. Elle était très maigre, malade peut être ! Je changeai d’itinéraire et pris le parti de descendre au rond point des Champs Elysée ; Je la remerciai, elle s’était plue à me renseigner, nous étions quittes et apaisées. Mais depuis j’ai dans mes yeux ce regard qui me donne envie de regarder par la fenêtre comme elle faisait.
Liliane Boyrie 05 16 2010
Rédigé par Boyrie à 19:27 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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CA MARCHE
Merci à mes amies Miss A Miss P qui m’ont judicieusement appris à faire avaler à Lucie ma chatte un petit comprimé.
Maintenant j’ouvre la mâchoire du chat avec assurance , puis avec vivacité je lui enfonce le comprimé au fond de la gorge, je masse ça gorge et ça marche !!
MERCI INFINIMENT
Liliane Boyrie
Rédigé par Boyrie à 13:04 | Lien permanent | Commentaires (6) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 10:43 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 10:37 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 12:43 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 12:37 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 12:33 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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