« Je suis comme un poussin qui a perdu sa mère | Accueil | J'en parle à Lucien »
Si tu savais !
Je savais qu'elle allait me tordre les boyaux, me torturer, m'envoyer dans d'inaccessibles lieux où
je serais prise de vertiges ne sachant où m'accrocher devant son minois d'enfant, son sourire où
je me noyais, sa fragilité.
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