Monsieur de Risquetou et mademoiselle Délice page 2
La famille Lamoux logeait dans un coquet pavillon
dans la campagne environnante de Paris, où il y avait chiens, chats, lapins. Leur fille Délice devait son nom aux gourmandes gourmandises de sa maman. Ses gourmands de parents voyaient en Délice une délicieuse petite fille qui les accompagnerait tout le long de leur vie ; Délice était leur enchanteresse. La commodité de la voiture balayait tous les problèmes et le soir lorsqu’ils se retrouvaient, papa, maman malgré la fatigue du boulot trouvaient une joie apaisante avec leur petite Délice si jolie.
L’école puis le lycée amenèrent Délice vers un désir constant de liberté et Délice prit ses seize ans dans un délicieux épanouissement ; Elle eut une chambre à Paris ; les études l’intéressaient moyennement, les dix sept puis les dix huit arrivèrent, l’envie de connaître, de savoir, de vivre. Elle sortait avec les copains, les cafés, le bal, ce fut au bal que tout se déclencha.
Délice débordante de vie impudique et magistrale souveraine allait sans complexes insolente de santé. Elle était le désir des hommes et en quelque sorte prédestinée à la vie qui l’attendait.
- Mademoiselle ?
- Oui. L’homme l’enlace, l’amène, son éclatante poitrine sur le thorax musclé de l’homme ils s’élancent dans une envolée de valses. Les danses s’enchaînent Délice s’y noie ; L’homme sait jouer de sa moustache de ses muscles Délice est le ravissement; Ils se retrouvèrent s’aimèrent. L’homme un méridional avait conquis Délice ;
Le jour arriva où il lui présenta Madame Irène ; Elle se retrouva dans un salon décoré avec élégance, un parfum, une musique douce, le décorateur avait mis la note qu’il fallait, des tables basses des coussins des lampions d’une riche décoration envoyaient la chaleur engourdissante pour papoter, penser, se reposer. .
Madame Irène au visage agréable, bienveillant affectait une amabilité qui vous mettait en confiance et vous donnait envie de vous libérer, Toute en nuance, des demis mots bien choisis bien pensés. Elle fit asseoir Délice et son ami Pietro. Une tasse de thé offerte par Madame Irène quelques gâteries dans un service en belle porcelaine décoré de motifs japonais finement dessinés aux couleurs délicates ; Il y avait un petit quelque chose, un petit plus qui envoyait Délice vers des désirs paradisiaques.
Sa jeune et belle poitrine était en plein épanouissement ; l’enchantement amollissait les sens ; Sur un signe de Madame Irène Pietro se leva, ils allèrent tous les deux dans un petit salon contigu. De retour Madame Irène prit à part Délice et en y mettant toutes les formes pour ménager sa jeune sensibilité elle expliqua le commerce de sa maison.
Mademoiselle Délice vous êtes ici dans une maison de plaisir, des messieurs se présenteront, vous serez libre de les refuser si bon vous semble, je vous ferai le prix de la visite, ça lui plaisait, vous devrez dans cette quiète et chaude ambiance, vous devrez vous promener nue, ça lui plaisait. : S’exposer comme un animal ça lui plaisait, elle devait partager ses gains moitié moitié avec Madame Irène ; elle accepta les conditions équitables, ça lui plaisait ;
Mercredi 18 novembre 10 à suivre.
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Monsieur de Risquetou et mademoiselle Délice page 2
La famille Lamoux logeait dans un coquet pavillon
dans la campagne environnante de Paris, où il y avait chiens, chats, lapins. Leur fille Délice devait son nom aux gourmandes gourmandises de sa maman. Ses gourmands de parents voyaient en Délice une délicieuse petite fille qui les accompagnerait tout le long de leur vie ; Délice était leur enchanteresse. La commodité de la voiture balayait tous les problèmes et le soir lorsqu’ils se retrouvaient, papa, maman malgré la fatigue du boulot trouvaient une joie apaisante avec leur petite Délice si jolie.
L’école puis le lycée amenèrent Délice vers un désir constant de liberté et Délice prit ses seize ans dans un délicieux épanouissement ; Elle eut une chambre à Paris ; les études l’intéressaient moyennement, les dix sept puis les dix huit arrivèrent, l’envie de connaître, de savoir, de vivre. Elle sortait avec les copains, les cafés, le bal, ce fut au bal que tout se déclencha.
Délice débordante de vie impudique et magistrale souveraine allait sans complexes insolente de santé. Elle était le désir des hommes et en quelque sorte prédestinée à la vie qui l’attendait.
- Mademoiselle ?
- Oui. L’homme l’enlace, l’amène, son éclatante poitrine sur le thorax musclé de l’homme ils s’élancent dans une envolée de valses. Les danses s’enchaînent Délice s’y noie ; L’homme sait jouer de sa moustache de ses muscles Délice est le ravissement; Ils se retrouvèrent s’aimèrent. L’homme un méridional avait conquis Délice ;
Le jour arriva où il lui présenta Madame Irène ; Elle se retrouva dans un salon décoré avec élégance, un parfum, une musique douce, le décorateur avait mis la note qu’il fallait, des tables basses des coussins des lampions d’une riche décoration envoyaient la chaleur engourdissante pour papoter, penser, se reposer. .
Madame Irène au visage agréable, bienveillant affectait une amabilité qui vous mettait en confiance et vous donnait envie de vous libérer, Toute en nuance, des demis mots bien choisis bien pensés. Elle fit asseoir Délice et son ami Pietro. Une tasse de thé offerte par Madame Irène quelques gâteries dans un service en belle porcelaine décoré de motifs japonais finement dessinés aux couleurs délicates ; Il y avait un petit quelque chose, un petit plus qui envoyait Délice vers des désirs paradisiaques.
Sa jeune et belle poitrine était en plein épanouissement ; l’enchantement amollissait les sens ; Sur un signe de Madame Irène Pietro se leva, ils allèrent tous les deux dans un petit salon contigu. De retour Madame Irène prit à part Délice et en y mettant toutes les formes pour ménager sa jeune sensibilité elle expliqua le commerce de sa maison.
Mademoiselle Délice vous êtes ici dans une maison de plaisir, des messieurs se présenteront, vous serez libre de les refuser si bon vous semble, je vous ferai le prix de la visite, ça lui plaisait, vous devrez dans cette quiète et chaude ambiance, vous devrez vous promener nue, ça lui plaisait. : S’exposer comme un animal ça lui plaisait, elle devait partager ses gains moitié moitié avec Madame Irène ; elle accepta les conditions équitables, ça lui plaisait ;