Des recommandations à David et Candide avant d’aller à la messe.
Les habits du dimanche ont trouvé place grâce à l’œil vigilent de Marguerite dans les valises des garçons, bien pliés connaissant le désir d’Agathe de voir ses petits enfants dans leur bel habit du dimanche et qu’il ne serait pensable d’aller à la messe « débraillé »
Tous les dimanches David et Candide ont leur costume, et à la sortie de la messe les grands parents aiment entendre dire par les amis, ce sont de vrais petits gentlemans; Joseph bombe le torse Agathe exhale de sa personne un parfum à se pâmer tellement il est délicieux ;
- Voyons David, tourne toi : c’est bien
- Voyons Candide, tourne toi : c’est bien.
Agathe a parfumé sa personne d’un parfum qui pousse à la gourmandise : c’est son pêché mignon de se parfumer dit-elle, tous inhalent son parfum, l’humeur est joyeuse les garçons sont fiers dans leurs beaux habits.
Marguerite et Eloi font leur jogging, profitent d’une belle matinée pour aller visiter un site verdoyant.
Sur la terrasse Joseph et sa pipe, à la cuisine Agathe. Tout avait été préparé la veille, un dernier regard dernier préparatif du chef une table du dimanche Agathe vaque dans la maison envoyant sur son sillage son délicieux parfum au joli nom de Rose.
Agathe rejoint Joseph.
Les garçons sur les genoux des grands parents. Joseph avec sa pipe et Agathe attendent silencieusement Eloi et Marguerite.
- Mamie, Félicien m’a envoyé un message il me demande s’il peut venir.
- Mais bien entendu Candide.
- Mamie, papa part ce soir ?
- Oui chéri. .
De retour Eloi et Marguerite se joignent à eux.
- Papa ! Papa ! Regarde !
- Très joli Candide : tu as pris ça où ?
Fier comme Artaban
- C’est mon dessin, je l’ai trouvé sur un livre de peinture dans la bibliothèque de Maman
- Marguerite je ne te connaissais pas du goût pour la peinture
- C’est une envie que j’ai eu à un moment donné, l’art plastique m’a attiré : j’ai du arrêter c’était trop de travail : dommage. J’ai eu d’autres objectifs, je regrette un peu.
Eloi assis à coté d’Agathe enivré par le parfum d’Agathe ne répond pas.
Dans ce cadre familial paisible Eloi bienheureux pose des questions, répond aux questions et dans cette ambiance il oublie sa fatigue, le parfum enivrant les volutes envoûtantes Eloi est particulièrement bien. Un craquement dans sa chaise pourtant... Il respire l’ambiance douce, transparente, une brise envoie dans les ondulations de la fumée mille histoires. Eloi s’agite sur sa chaise essaie de s’asseoir confortablement mais quelque chose intervient le gêne. Délice vient avec l’intensité du désespoir et l’envoie dans une souffrance qui lui brise le cœur, ses traits se crispent, devant lui elle apparaît si triste et si tragique ses yeux lancent un appel un appel au secours. Il l’aime sans retours, il l’aime tellement, tellement que l’épouvante est dans ses yeux, elle est si belle… et là, au milieu de sa famille elle lui a pris son cœur.
- Vous allez bien Eloi ?
- Eloi mon chéri tu es sûr que ça va ?
- Eloi soignez vous ! Allez donc voir le docteur Lasaignet
Tous en cœur ;
- Oui, le docteur Lasaignet ! Le docteur Lasaignet. ! Faut le voir.
- Je viens d’avoir une vision.
- Ensemble : une vision !
- Oui une vision, j’ai cru mourir, la sorcière Véritissimo voulait prendre mon cœur, c’était effrayant, je dus faire appel à toutes mes forces physiques et mentales pour vivre. Je suis navré de m’être laissé ensorcelé par le délicat parfum d’Agathe et les émouvantes volutes envoyées si habilement.
- Candide et David ensemble.
- Véritissimo, Véritissimo la sorcière raconte papa.
- Venez près de moi tous les deux, vous voyez les délicates volutes que la brise disperse autour de vous ? Les voyez-vous ?
- Oui Papi.
- Bon, dans ces volutes Candide et David vous pouvez voir une histoire que vous pourrez écrire. C’est ce qui vient d’arriver à votre père ;
Je sais, Eloi, et vous venez de me le confirmer, de m’en convaincre encore plus vous avez un délice avec la pipe, nul doute vous serez approuvé à l’unanimité par la très haute la très prestigieuse la très célèbre la très illustre congrégation des fumeurs de pipe.
Eloi fait un signe tous suivent c’est l’heure du repas de midi.
Commentaires
monsieur de Risquetou et mademoiselle Délice
12-03-2011
Des recommandations à David et Candide avant d’aller à la messe.
Les habits du dimanche ont trouvé place grâce à l’œil vigilent de Marguerite dans les valises des garçons, bien pliés connaissant le désir d’Agathe de voir ses petits enfants dans leur bel habit du dimanche et qu’il ne serait pensable d’aller à la messe « débraillé »
Tous les dimanches David et Candide ont leur costume, et à la sortie de la messe les grands parents aiment entendre dire par les amis, ce sont de vrais petits gentlemans; Joseph bombe le torse Agathe exhale de sa personne un parfum à se pâmer tellement il est délicieux ;
- Voyons David, tourne toi : c’est bien
- Voyons Candide, tourne toi : c’est bien.
Agathe a parfumé sa personne d’un parfum qui pousse à la gourmandise : c’est son pêché mignon de se parfumer dit-elle, tous inhalent son parfum, l’humeur est joyeuse les garçons sont fiers dans leurs beaux habits.
Marguerite et Eloi font leur jogging, profitent d’une belle matinée pour aller visiter un site verdoyant.
Sur la terrasse Joseph et sa pipe, à la cuisine Agathe. Tout avait été préparé la veille, un dernier regard dernier préparatif du chef une table du dimanche Agathe vaque dans la maison envoyant sur son sillage son délicieux parfum au joli nom de Rose.
Agathe rejoint Joseph.
Les garçons sur les genoux des grands parents. Joseph avec sa pipe et Agathe attendent silencieusement Eloi et Marguerite.
- Mamie, Félicien m’a envoyé un message il me demande s’il peut venir.
- Mais bien entendu Candide.
- Mamie, papa part ce soir ?
- Oui chéri. .
De retour Eloi et Marguerite se joignent à eux.
- Papa ! Papa ! Regarde !
- Très joli Candide : tu as pris ça où ?
Fier comme Artaban
- C’est mon dessin, je l’ai trouvé sur un livre de peinture dans la bibliothèque de Maman
- Marguerite je ne te connaissais pas du goût pour la peinture
- C’est une envie que j’ai eu à un moment donné, l’art plastique m’a attiré : j’ai du arrêter c’était trop de travail : dommage. J’ai eu d’autres objectifs, je regrette un peu.
Eloi assis à coté d’Agathe enivré par le parfum d’Agathe ne répond pas.
Dans ce cadre familial paisible Eloi bienheureux pose des questions, répond aux questions et dans cette ambiance il oublie sa fatigue, le parfum enivrant les volutes envoûtantes Eloi est particulièrement bien. Un craquement dans sa chaise pourtant... Il respire l’ambiance douce, transparente, une brise envoie dans les ondulations de la fumée mille histoires. Eloi s’agite sur sa chaise essaie de s’asseoir confortablement mais quelque chose intervient le gêne. Délice vient avec l’intensité du désespoir et l’envoie dans une souffrance qui lui brise le cœur, ses traits se crispent, devant lui elle apparaît si triste et si tragique ses yeux lancent un appel un appel au secours. Il l’aime sans retours, il l’aime tellement, tellement que l’épouvante est dans ses yeux, elle est si belle… et là, au milieu de sa famille elle lui a pris son cœur.
- Vous allez bien Eloi ?
- Eloi mon chéri tu es sûr que ça va ?
- Eloi soignez vous ! Allez donc voir le docteur Lasaignet
Tous en cœur ;
- Oui, le docteur Lasaignet ! Le docteur Lasaignet. ! Faut le voir.
- Je viens d’avoir une vision.
- Ensemble : une vision !
- Oui une vision, j’ai cru mourir, la sorcière Véritissimo voulait prendre mon cœur, c’était effrayant, je dus faire appel à toutes mes forces physiques et mentales pour vivre. Je suis navré de m’être laissé ensorcelé par le délicat parfum d’Agathe et les émouvantes volutes envoyées si habilement.
- Candide et David ensemble.
- Véritissimo, Véritissimo la sorcière raconte papa.
- Venez près de moi tous les deux, vous voyez les délicates volutes que la brise disperse autour de vous ? Les voyez-vous ?
- Oui Papi.
- Bon, dans ces volutes Candide et David vous pouvez voir une histoire que vous pourrez écrire. C’est ce qui vient d’arriver à votre père ;
Je sais, Eloi, et vous venez de me le confirmer, de m’en convaincre encore plus vous avez un délice avec la pipe, nul doute vous serez approuvé à l’unanimité par la très haute la très prestigieuse la très célèbre la très illustre congrégation des fumeurs de pipe.
Eloi fait un signe tous suivent c’est l’heure du repas de midi.