- Alors vous êtes sur le départ ! Devant lui le curé Pierre goguenard le regarde.
- Je reviens samedi, Eloi montre des gestes nerveux.
- Mademoiselle de Virecheau petite fille du comte de Virecheau un guerrier connu pour ses exploits m’invite à sa collation c’est une fidèle paroissienne au cœur généreux : vous ne la connaissez pas : la vieille France, beaucoup de farfelus une odeur de temps ancien un charme désuet paisible loin des turbulences de notre époque où les jeunes sont décomplexés, libre ; Je pourrais vous en raconter de bien belles…
Le curé Pierre est en bonne compagnie avec Eloi il continue. La société dans la région est vieillissante, ici pas d’industrie, des touristes, des commerces, on a un médecin, un pharmacien, un notaire qui veille sur notre bonne santé. Renouvelez mes amitiés à vos proches. Dimanche prochain c’est la pentecôte
Bonne route.
- Eloi tu oublies tes baskets
- Merci.
- Les garçons sont chez leur copain ils devraient être là.
- C’est pas grave ils m’appelleront sur leur portable.
- Eloi vous nous donnez de vos nouvelles. Accompagné de signes encourageants il s’engouffre dans la voiture des regards inquiets des gestes amicaux il tape deux fois sa portière pour calmer son impatience l’énervement des jours passés.
Des kilomètres interminables, des voitures, des voitures devant derrière une marée de voitures : il double profite d’un bouchon pour écouter son poste, les dernières nouvelles, l’éteint, la vitesse ralentii, devant lui il a une vision la maison de passe de madame Irène, désespéré il cherche Délice immatérielle déchiquetée disparaît dans les volutes de la pipe de Joseph une quinte de toux l'’étouffe il reprend sa respiration. Paniqué à l’idée de perdre Délice il tape sa tête pour sortir de ce mauvais rêve pressé d'arriver pour aller voir sa chère sa très chère Délice qu’il aime éperdument. Eperdu il maudit la pipe de Joseph et tous les fumeurs de pipe.
La circulation se débloqua jusqu’aux derniers bouchons à l’entrée de la capitale.
Commentaires
monsieur de Risquetou et mademoiselle Délice
24-03-2011
- Alors vous êtes sur le départ ! Devant lui le curé Pierre goguenard le regarde.
- Je reviens samedi, Eloi montre des gestes nerveux.
- Mademoiselle de Virecheau petite fille du comte de Virecheau un guerrier connu pour ses exploits m’invite à sa collation c’est une fidèle paroissienne au cœur généreux : vous ne la connaissez pas : la vieille France, beaucoup de farfelus une odeur de temps ancien un charme désuet paisible loin des turbulences de notre époque où les jeunes sont décomplexés, libre ; Je pourrais vous en raconter de bien belles…
Le curé Pierre est en bonne compagnie avec Eloi il continue. La société dans la région est vieillissante, ici pas d’industrie, des touristes, des commerces, on a un médecin, un pharmacien, un notaire qui veille sur notre bonne santé. Renouvelez mes amitiés à vos proches. Dimanche prochain c’est la pentecôte
Bonne route.
- Eloi tu oublies tes baskets
- Merci.
- Les garçons sont chez leur copain ils devraient être là.
- C’est pas grave ils m’appelleront sur leur portable.
- Eloi vous nous donnez de vos nouvelles. Accompagné de signes encourageants il s’engouffre dans la voiture des regards inquiets des gestes amicaux il tape deux fois sa portière pour calmer son impatience l’énervement des jours passés.
Des kilomètres interminables, des voitures, des voitures devant derrière une marée de voitures : il double profite d’un bouchon pour écouter son poste, les dernières nouvelles, l’éteint, la vitesse ralentii, devant lui il a une vision la maison de passe de madame Irène, désespéré il cherche Délice immatérielle déchiquetée disparaît dans les volutes de la pipe de Joseph une quinte de toux l'’étouffe il reprend sa respiration. Paniqué à l’idée de perdre Délice il tape sa tête pour sortir de ce mauvais rêve pressé d'arriver pour aller voir sa chère sa très chère Délice qu’il aime éperdument. Eperdu il maudit la pipe de Joseph et tous les fumeurs de pipe.
La circulation se débloqua jusqu’aux derniers bouchons à l’entrée de la capitale.