Le beau minois de Délice dans sa cousette envoyait Eloi dans un monde inconnu à lui il voyait l’ameublement léger aux couleurs douces, bleues roses vertes mauves assorties à sa robe, une angoisse devant le vide du moment la coupe de champagne dans sa main se mit à trembler.
Il voyait dans une clarté hallucinante sa tendre amie qu’une maladie avait ravi dans son jeune age, les moments heureux où leurs jeunes corps s’étaient exprimés les moment infiniment tristes qui lui ont laissé des séquelles, comme un film les images défilaient, il voyait l’autre celle qui se moquait jouait de sa timidité puis l’avait plaqué celles qui étaient passées inconsistantes
Délice prit pitié, elle lui prit les mains.
- Comment puis je vous aider ? Tenez, prenez une autre coupe de champagne ça devrait aller. J’ai connu un client qui a eu ce malaise qui détruit la pensée, il avait subi un traumatisme tel qu’il eut peur de revenir alors qu’il ne pouvait s’en empêcher. Il me raconta qu’il avait retrouvé par morceaux les moments passés ici la première fois, Eloi je vous dis la vérité ; ici c’est une histoire à part de vos histoires, comment vous dire : j’ai du mal à m’expliquer : ce monde est à part de votre monde, un monde que vous cherchez dont vous ne pouvez vous passer. Tenez parions que dehors au grand air vous retrouverez un début de notre émouvante première fois, vous verrez.
Eloi était intrigué par les explications de Délice il commençait à être bien, il regardait le lit où leurs ébats s’étaient passés puis du lit il allait à Délice et de Délice au lit et ceci plusieurs fois si bien qu’il crut un moment la retrouver dans ses bras. Les coupes les unes après les autres se vidaient il cherchait aveuglément .le moment qu’il avait adoré devant lui Délice plus belle que jamais.
- Je considère ça comme un malaise, je devrais peut être consulter un médecin, si vos enseignements se révèlent être vrais, étant instruit je dois retrouver ma mémoire perdue semble t-il. C’est un grand souci chère Délice je suis vraiment malheureux de vous offrir ce piètre personnage.
- Non monsieur nous sommes là mes consoeurs et moi pour tenter de réparer les fissures que les orages les tempêtes familiales ont provoqué, notre pauvre profession peut quelques fois aider, nous en sommes conscientes et cela nous mène à philosopher sur notre sort si cruel cela nous aide à le supporter Des circonstances malheureuses nous y ont conduit nous nous en réchappons grâce à vous, aux clients malheureux qui espèrent se trouver dans la maison de passe de madame Irène ;
Eloi interrogeait du regard Délice ses paroles encourageantes l’avaient apaisé, apaisé son cerveau fatigué, leurs pensées s’étaient mêlées communiaient un bien être s’ensuivait. Il palpa doucement la main de Délice en signe de remerciement puis se leva.
- Monsieur je compte vous voir prochainement, j’ai aussi besoin de vous.
- Vous êtes si belle Délice qu’il serait impensable de me priver de vos bontés.
Eloi accompagné de Délice moitié rassuré de plus en plus inquiet à mesure qu’il approchait de la porte.
- Au revoir cher Monsieur de Risquetou A bientôt n’hésitez pas à me faire signe nous sommes à votre service n’est-ce pas Délice ?
- Oui madame.
- Bien je suis heureuse de vous l’entendre dire ; n’est-ce pas monsieur de Risquetou ?
- C’est un bonheur madame.
- A bientôt.
- A bientôt madame.
Commentaires
monsieur de Risquetou et mademoiselle Délice
21/04/2011
Le beau minois de Délice dans sa cousette envoyait Eloi dans un monde inconnu à lui il voyait l’ameublement léger aux couleurs douces, bleues roses vertes mauves assorties à sa robe, une angoisse devant le vide du moment la coupe de champagne dans sa main se mit à trembler.
Il voyait dans une clarté hallucinante sa tendre amie qu’une maladie avait ravi dans son jeune age, les moments heureux où leurs jeunes corps s’étaient exprimés les moment infiniment tristes qui lui ont laissé des séquelles, comme un film les images défilaient, il voyait l’autre celle qui se moquait jouait de sa timidité puis l’avait plaqué celles qui étaient passées inconsistantes
Délice prit pitié, elle lui prit les mains.
- Comment puis je vous aider ? Tenez, prenez une autre coupe de champagne ça devrait aller. J’ai connu un client qui a eu ce malaise qui détruit la pensée, il avait subi un traumatisme tel qu’il eut peur de revenir alors qu’il ne pouvait s’en empêcher. Il me raconta qu’il avait retrouvé par morceaux les moments passés ici la première fois, Eloi je vous dis la vérité ; ici c’est une histoire à part de vos histoires, comment vous dire : j’ai du mal à m’expliquer : ce monde est à part de votre monde, un monde que vous cherchez dont vous ne pouvez vous passer. Tenez parions que dehors au grand air vous retrouverez un début de notre émouvante première fois, vous verrez.
Eloi était intrigué par les explications de Délice il commençait à être bien, il regardait le lit où leurs ébats s’étaient passés puis du lit il allait à Délice et de Délice au lit et ceci plusieurs fois si bien qu’il crut un moment la retrouver dans ses bras. Les coupes les unes après les autres se vidaient il cherchait aveuglément .le moment qu’il avait adoré devant lui Délice plus belle que jamais.
- Je considère ça comme un malaise, je devrais peut être consulter un médecin, si vos enseignements se révèlent être vrais, étant instruit je dois retrouver ma mémoire perdue semble t-il. C’est un grand souci chère Délice je suis vraiment malheureux de vous offrir ce piètre personnage.
- Non monsieur nous sommes là mes consoeurs et moi pour tenter de réparer les fissures que les orages les tempêtes familiales ont provoqué, notre pauvre profession peut quelques fois aider, nous en sommes conscientes et cela nous mène à philosopher sur notre sort si cruel cela nous aide à le supporter Des circonstances malheureuses nous y ont conduit nous nous en réchappons grâce à vous, aux clients malheureux qui espèrent se trouver dans la maison de passe de madame Irène ;
Eloi interrogeait du regard Délice ses paroles encourageantes l’avaient apaisé, apaisé son cerveau fatigué, leurs pensées s’étaient mêlées communiaient un bien être s’ensuivait. Il palpa doucement la main de Délice en signe de remerciement puis se leva.
- Monsieur je compte vous voir prochainement, j’ai aussi besoin de vous.
- Vous êtes si belle Délice qu’il serait impensable de me priver de vos bontés.
Eloi accompagné de Délice moitié rassuré de plus en plus inquiet à mesure qu’il approchait de la porte.
- Au revoir cher Monsieur de Risquetou A bientôt n’hésitez pas à me faire signe nous sommes à votre service n’est-ce pas Délice ?
- Oui madame.
- Bien je suis heureuse de vous l’entendre dire ; n’est-ce pas monsieur de Risquetou ?