Petit billet
Les états d’âme de Christie.
Vous connaissez ces moments de déprime ! C’est ce qui m’est arrivé hier. Ça passait par l’abattement puis la colère éclatait, puis l’incompréhension, le repliement. Julie mon amie dans des battements de cils que je ne lui avais jamais vus pleins de reproches me culpabilisait, c’était hier.
J’étais assise avec Lucien sur le banc tout près de lui, je lui entourais son bras de mon bras, le caressais de mon autre main lorsqu’il me demanda tout de go : tu sais où est Julie ? Je ne savais pas ! Depuis hier je ne l’avais plus vu lorsqu’elle apparut de son allure chaloupée car la coquine s’amuse. Elle s’assoit de l’autre côté de Lucien envoie à tous les deux de jolis clignements d’yeux, ça façon de s’annoncer, de nous interroger, Julie est avare de mots, elle sait me questionner sans un mot. Je connais sa façon ! Je les entrainais vers mon atelier où un tableau attendait d’être terminé. Je me tournais n’en crus pas mes yeux je la voyais faire des bonds de joie en dandinant sa tête et ça plusieurs fois, puis s’arrêtait net, Lucien et moi écarquillons les yeux curieux, à peine avions-nous tourné la tête elle avait disparu, je sentais mon cœur se serrer , je regardais Lucien avec un regard impuissant, pris ma palette et mon pinceau, je malaxais mes couleurs, Lucien retourna à son bureau où un travail l’attendait, j’avançais mon bras Julie d’un regard malicieux derrière le tableau, elle s’avança sans dire un mot le regarda longuement, papillonna des yeux de plaisir puis disparut .
J’étais rassurée j’avais mes fidèles amis avec moi, Lucien et Julie.
Liliane Boyrie 04 12 2012
Les états d’âme de Christie.
Vous connaissez ces moments de déprime ! C’est ce qui m’est arrivé hier. Ça passait par l’abattement puis la colère éclatait, puis l’incompréhension, le repliement. Julie mon amie dans des battements de cils que je ne lui avais jamais vus pleins de reproches me culpabilisait, c’était hier.
J’étais assise avec Lucien sur le banc tout près de lui, je lui entourais son bras de mon bras, le caressais de mon autre main lorsqu’il me demanda tout de go : tu sais où est Julie ? Je ne savais pas ! Depuis hier je ne l’avais plus vu lorsqu’elle apparut de son allure chaloupée car la coquine s’amuse. Elle s’assoit de l’autre côté de Lucien envoie à tous les deux de jolis clignements d’yeux, ça façon de s’annoncer, de nous interroger, Julie est avare de mots, elle sait me questionner sans un mot. Je connais sa façon ! Je les entrainais vers mon atelier où un tableau attendait d’être terminé. Je me tournais n’en crus pas mes yeux je la voyais faire des bonds de joie en dandinant sa tête et ça plusieurs fois, puis s’arrêtait net, Lucien et moi écarquillons les yeux curieux, à peine avions-nous tourné la tête elle avait disparu, je sentais mon cœur se serrer , je regardais Lucien avec un regard impuissant, pris ma palette et mon pinceau, je malaxais mes couleurs, Lucien retourna à son bureau où un travail l’attendait, j’avançais mon bras Julie d’un regard malicieux derrière le tableau, elle s’avança sans dire un mot le regarda longuement, papillonna des yeux de plaisir puis disparut .
J’étais rassurée j’avais mes fidèles amis avec moi, Lucien et Julie.
Liliane Boyrie 04 12 2012