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Bonnes fêtes de Noël
Bon réveillon
Bonne fin d'année
En cette veille de Noël je suis de tout coeur avec vous
Je vous souhaite une bonne soirée
Je vous remercie pour l'intérêt que vous portez à mon blog
Liliane Boyrie
Rédigé par Boyrie à 20:02 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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En arrêt derrière une file de voitures, un regard fixe devant une échoppe bordelaise, un sentiment vague que je ne pus définir : cette échoppe m’attirait. J’appuyai sur l’accélérateur, j’étais sur les boulevards de Bordeaux.
De retour chez moi, étendue sur mon divan, alanguie, les yeux à peine ouverts, je revoyais cette échoppe bordelaise, j’insistais pour comprendre l’émotion contenue que j’avais eu en l’espace de si peu de temps.
Les échoppes sont une partie intégrante de moi. J’ai vécu ma vie avec elles, et ce jour là, à travers cette habitation chargée d’histoire, avec émotion j’ai découvert ce que jusque là je n’avais pas compris qu’elles étaient chères à mon cœur. Cet attachement presque physique, m’émeut, car c’est moi avec mon histoire.
A ceux qui vont me lire, je conseille de rechercher : échoppes bordelaises sur internet. C’est très intéressant. Je vous présente un modèle courant de l’échoppe bordelaise double.
Rédigé par Boyrie à 22:00 dans BORDEAUX | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 16:58 dans petite Lucie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Viens, mon beau chat, sur mon cœur amoureux,
Retiens les griffes de ta patte,
Et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux,
Mêlés de métal et d'agate.
Lorsque mes doigts caressent à loisir
Ta tête et ton dos élastique,
Et que ma main s'enivre du plaisir
De palper ton corps électrique,
Je vois ma femme en esprit.
Son regard, comme le tien, aimable bête,
Profond et froid, coupe et fend comme un dard
Et, des pieds jusques à la tête,
Un air subtil, un dangereux parfum
Nagent autour de son corps brun.
Charles Baudelaire
Rédigé par Boyrie à 16:43 dans Minouchette_ | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Les Chats
Les amoureux fervents et les savants austères
Aiment également, dans leur mûre saison,
Les chats puissants et doux, orgueil de la maison,
Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires.
Amis de la science et de la volupté,
Ils cherchent le silence et l’horreur des ténèbres ;
L'errée les eût pris pour ses coursiers funèbres,
S’ils pouvaient au servage incliner leur fierté.
Ils prennent en songeant les nobles attitudes
Des grands sphinx allongés au fond des solitudes,
Qui semblent s’endormir dans un rêve sans fin ;
Leurs reins féconds sont pleins d’étincelles magiques
Et des parcelles d’or, ainsi qu’un sable fin,
Etoilent vaguement leurs prunelles mystiques.
Charles Baudelaire..
Rédigé par Boyrie à 16:25 dans Bandit | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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A l’intérieur de moi depuis quelques temps, tout est prétexte à faire autre chose que de revoir le dernier chapitre de mon roman. Je suis effondrée. Est-ce que le mot effondré a toujours un sens négatif ? Peut on être effondré de bonheur ? En tout cas, en ce qui me concerne, cette sombre journée de décembre 08 ne m’aide pas à faire surface. Bien installée au chaud dans mon lit je regarde ma petite Pucette (qui est une petite chatte) elle ouvre de grands yeux pour s’assurer si je suis bien là ! Alors que nous nous regardons chacune dans nos pensées, je retrouve le jour où je l’avais amenée voir le vétérinaire : il y a déjà quelques années !
J’avais 5 chats à l’époque, je voyais donc de temps en temps mon vétérinaire, ce jour là, ce brave homme eut envie de s’épancher. Le cœur humain a besoin un jour de s’épancher ! Le noble travail, très dur de vétérinaire ne lui avait pas enlevé sa sensibilité, et c’est avec une voix effondrée qu’il me raconta la détresse d’un client.
Parmi tous les animaux qu’il eut à soigner dans son parcours de vétérinaire, ce jour là, il eut devant lui une énorme patte d’homme toute tremblante qui lui montrait un tout petit animal à moitié mort. Il regarda l’homme qui avait les yeux humides, et mon vétérinaire voyait dans tout son tragique, un homme, un colosse qui rentrait à peine par la porte, me dit-il, lui expliquant son attachement pour cette bestiole après sa séparation d’avec sa femme. Tout l’amour pour sa femme il l’avait reporté sur ce pauvre petit animal, et la main tendue vers le vétérinaire il espérait un miracle. En ce moment je vois toute la tristesse de mon vétérinaire en me disant, il avait vu tant de tragédies, tant de gens effondrés, mais là, il regarda s’éloigner ce pauvre homme avec une tristesse infinie.
Liliane Boyrie le 15 08 2008-12-15
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Rédigé par Boyrie à 19:47 dans créations_ | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 10:59 dans encre de Chine | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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J’étais arrêtée, et je regardais cette main habile, glisser, lisser la surface du mur avec sa truelle, elle caressait la surface. J’étais fascinée devant le poli qu’elle réussissait dans un geste délicat et souple à donner au mur. Interrogative, je regardais cet homme qui travaillait son ciment avec une virtualité qui m’intriguait.
Arrivée chez moi, avec un regard soupçonneux j’évaluais le travail de ma murette, et je constatais que plusieurs endroits avaient besoin d’être réparés. Je m’appliquais à lire le mode d’emploi sur la boîte de ciment de un kilo que j’avais achetée. Je fis le mélange, ciment, sable et eau, c’était si facile ! Je me lançais avec évidence dans la maçonnerie, ayant l’avantage d’après moi, d’avoir pratiqué un travail manuel avec mes tableaux. D’un pas assuré, la truelle dans une main, le pot de ciment dans l’autre, confiante, j’attaquais ma murette. J’essayais la technique du maçon, la mienne ayant été infructueuse. J’appliquais dans un mouvement souple le ciment : j’avais pourtant le désir d’avoir une belle murette ! J’y ai mis toute ma sensibilité, la décontraction de la main etc…Eh ! Bien, mes amis, j’allais de déceptions en déceptions devant le résultat, ne comprenant pas, que ce que je croyais avoir compris me donnait tant de peine pour un résultat plus que moyen.
Cet exemple m’a poussée à vous parler du travail que je vous présente. J’ai du travailler avec confiance pour, avec un stylo à encre de Chine faire ces portraits. Ce ne fut pas facile. Il m’a fallu beaucoup travailler pour arriver à ce résultat. Je crois bien que je vais devoir apprendre davantage avant de devenir un bon maçon !
Liliane Boyrie
Rédigé par Boyrie à 20:45 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 10:35 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 06:21 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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pastel paysage du Lot et Garonne Nous étions en ballade mon mari et moi et comme d'habitude j'avais mes outils de travail. Le temps était menaçant, le paysage magnifique. Je cherchais avidement l'endroit pour le dessiner. Mon mari de par son métier connaissait parfaitement les terrains et chaque fois qu'il se présentait un paysage que j'aimais il se débrouillait toujours pour placer la voiture. Mais ce jour là, il fallait faire vite, le temps était très menaçant. Imaginez la pluie sur du pastel !
Rédigé par Boyrie à 05:54 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 10:55 dans crayon | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Mes amis, mes virtuélissimes amis, j’éprouve en ce moment un sentiment d’amour que je dois vous transmettre avant qu’il ne disparaisse. Qu’est-ce que l’amour ? C’est un bonheur infini que l’on trouve en toutes choses, par exemple, mettre des fleurs dans un vase. C’est avant tout un acte gratuit, et en cet instant béni, je pense à la personne qui me fera le cadeau magnifique de lire ces quelques lignes.
Je dois écrire. Les heures qui vont passer en ce jour du 8 décembre en cette année 2008, s’annoncent d’après cet instant, pleines d’amour ! J’ai peur que ce soit dur, et si je tourne en rond dans ma pièce en recherche de quelque chose d’insaisissable …tracassée, tourmentée, je vais devoir faire un effort désespéré pour retrouver l’amour, ma respiration !
Mon amour de moi, ce qui est naturel "je me demande si l’amour n’est pas avant tout très égoïste" me pousse à vous écrire. Je dois écrire, je dois me délivrer de ce poids qu’est l’amour. Je frissonne en vous écrivant. Avec tout ce que crée l’amour d’incertitudes, de tourments, de dépendances, d’inquiétudes, de doutes, de craintes, de peurs de donner, de se donner, de frapper fort, de regretter ! Enfin se soumettre, se tourmenter à n’en plus finir, et espérant qu’avec ces quelques lignes écrites pour vous mes amis, vous allez passer une journée, si ce n’est pleine d’amour, au moins agréable.
J’ai découvert dans un immense classeur, ces petits dessins qui sont le plus pur signe d’amour, à vous de les apprécier…
Quelles merveilles l’ordinateur et internet. Quels outils merveilleux ;
Je vous souhaite une belle journée en ce jour du 8 décembre 2008
Liliane Boyrie
Rédigé par Boyrie à 10:53 dans lettres | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé par Boyrie à 10:48 dans crayon | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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