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Christie le coeur heureux, en paix du travail accompli rend visite à Lucien. A peine a t-elle franchi la porte Lucien l'attrape à part - Si tu savais Christie ! Je ne sais pas si c'est ma tête qui va mal ou Julie.
Le tableau de gauche est Marie Guiganti peinture à l'huile A droite Marie vu avec mon imagination gouache
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Marie posait et je la transformais,j'étais partie dans une autre Marie elle m'avait inspiré, j'étais si loin d'elle que Marie s'en étonnait. Elle était à l'opposé de ce que je faisais, la couleur jaune, rouge , même les mouvements je les transformais, Marie d'une docilité merveilleuse se prétait de bonnes grâces à mes extravagances, seulement timidement elle me faisait remarquer. J'ai eu beaucoup de difficulté à peindre les nus qu'elle a bien voulu poser. Je n'arrivais pas à la saisir, son corps parfait, mince, son manque de professionnalisme, mon manque d'expérience, pour moi, rien n'allait, je me lamentais auprès des miens. Elle manquait de sensualité. Lorsque j'allais dans un magasin avec ma nièce, tourmentée par mon incapacité à peindre Marie, je regardais autour et je ne manquais pas d'expliquer à ma nièce la belle sensualité d'un corps de jeune fille qui était devant nous ,voilà ce qui manque à Marie ! De sa froideur Marie était consciente, Comme avec les fusains j'étais creuse et désespérée, j'eu l'idée de prendre les couleurs. Je fis mes essais avec le pastel, là, je captais mieux Marie;Je réussis enfin à lui trouver des poses, à faire parler son corps. J'ai travaillé avec Marie, j'ai fait des nus, des portraits, des gouaches, des pastels, de la peinture à l'huile. Elle a beaucoup compté dans mon travail de peintre, c'est avec le recul que je le vois. Nous travaillions ensemble avec la même énergie, le même courage, le même désir d'arriver, la même envie de réussite, cette coopération a été extraordinaire, ce désir d'aller le plus loin possible, nous l'avons vécu ensemble.
Liliane Boyrie 23 08 2010
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Tu sais chérie devant tant de beautés nous ne pouvons que chérir la vie ; Tiens je vais te raconter ; Je saisis ma palette, mon pinceau, transportée. Je m’élevai avec les récits de ma chère Julie. Dans un clin d’œil, quelques battements de cils, nous étions en parfaite osmose
- Tu appelles Lucien que nous fêtions ces retrouvailles ;
Liliane Boyrie 2010-08-17
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J'étais appliquée à faire mes mélanges sur ma palette lorsque j'arrêtai mon geste car s'était interposée entre mon pinceau et ma toile mon amie Julie. Je m'arrêtai un instant, nos regards se croisèrent un instant sans plus car je savais par ses petits battements de cils qu'elle ne me voulait aucun mal Liliane Boyrie
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Ma petite Christie il ne se passe pas un jour sans que j'implore le Seigneur, tu t'engages imprudemment dans une voie difficile, je prie, je prie pour toi ma chérie. J'émis un grognement qui envoya mes chats dans les plus petits trous de la maison, qui résonna dans toute la maison puis un autre, et un autre, enfin je retrouvai mon calme avec mes gestes, je m'appliquai à bien appuyer mon outil pour décalquer mon sujet. Liliane Boyrie 13 08 2010
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- Tu n'aurais pas vue Julie par hasard?
- Pourquoi?
- Je la pensais avec toi.
J'appuyai mon coude sur la table, ma main soutenant mon visage, le regard perdu, réfléchissant, essayant de me souvenir, mélangeant la veille à ce jour, et aux autres jours où je l'aurais vue. Je begayai quelques mots confus.
- Nous pourrions prendre un thé?
Et dans une même pensée nous nous prenons la main, signe de notre grande amitié
Liliane Boyrie 12 08 2010
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J’en parle à Lucien
Il n’y a aucune situation que Christie n’ait su regarder en face. Elle a du gagner sur elle, se flageller, se hisser tant bien que mal, rebondir et ceci maintes fois.
Alors qu’elle est en repos sur sa chaise longue avec pour amis ses chats, les yeux fermés pour mieux entendre le silence autour d’elle, la mémoire fermée à toutes intrusions, une voix chantante, musicale la ramène à cet instant
C’est moi ! Julie
Lucie l’enchante et elle ne la dérange jamais mais là, elle n’arrive pas à faire face.
Après quelques battements de cils et une bise sur chaque joue ses yeux rieurs accompagnés d’un large sourire en signe d’accueil se campe avec aplomb devant moi, plonge son regard narquois dans mes yeux, de son regard triomphant qu’elle accompagne de son plus large sourire elle attend.
Je restais songeuse un moment, elle se mit à battre des cils plus qu’il ne faut. J’étais hésitante. Elle ne comprenait pas et me le faisait savoir par des battements de cils.
- Demain Lucien nous amène en ballade je prendrai mon cahier de croquis.
C’est l’envie de Lucien de me voir dessiner, il ne me dit rien mais je lis en lui, tu sais bien comme nous nous comprenons nul doute il sera d’accord ;
Mon enchanteresse m’avait séduit. Elle s’installa devant mon tableau en chantier puis avec un léger haussement d’épaule elle s’éclipsa.
Je pense et je n’y peux rien je suis envahie par Julie, elle est diabolique, elle viole tous mes instants.
Il faudra que j’en parle à Lucien il saura lui
Liliane Boyrie 2010-08-08
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Rédigé par Boyrie à 18:47 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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et il partit. Je savais qu'elle m'apportait la sève que j'allais travailler et qui allait faire grandirma pensée. Elle fit irruption dans ma pièce et je me demandais parfois si elle ne tombait pas du
ciel tant ses visites étaient étranges. Je devais descendre de mon escabeau car elle restait là
tête tendue, la bouche en forme de coeur, et dans cette attitude des plus charmante car elle
battait des cils( c'était son expression ) elle arrivait à m'émotionner si bien que fébrilement
je ressaisissais mes pinceaux et lissais, lissais ma toile jusqu'à épuisement de mes forces
Elle connaissait son pouvoir et c'est avec une grande finessse, une grande perspicacité
des choses et des êtres, avec un intérêt croissant envers mes oeuvres qu' elle s'infiltrait
habilement dans ma vie, tellement, je ne savais plus si c'était elle ou moi qui tenait le pinceau
- Si tu savais ma chérie! Je suis entourée de mafiosi et mon grand malheur (d'après eux )
Je suis comme un poussin qui a perdu sa mère et qui s'en va dans tous les sens.
- Répète. J'aime la faire répèter car elle met dans les choses peu banales une telle candeur
que j'ai un malin plaisir à m'en gaver . Tu crois ?
-Eh! Bien oui, je suis cette chose là. Et en ce moment il m'en arrive une belle; C'est impensable.
Impensable. Impensable. Lucie ma plus tendre amie, mon impalpable, mon insaisissable, était
devant moi bouleversée, et Christie du haut de son escabeau 'assistait impuissante à sa tragédie.
Liliane Boyrie 06 08 2010
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Rédigé par Boyrie à 16:33 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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C'est sa troisième maison d'adoption, elle est folle de bonheur, elle me suit comme un petit chien
Pour Minouche la vie est magnifique, qu'il en soit également pour vous mes amis. ici dans ma région pour le premier aout le ciel déverse de l'eau bien salutaire pour les plantes, les jours suivants vont être beaux "je ne suis pas madame météo" mais un petit réchauffement de la température ne serait pas de trop, beaucoups de pensées amicales, bonne journée.
Liliane Boyrie 01 08 2010
Rédigé par Boyrie à 12:43 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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