Délice était au paradis avec Pietro main dans la main, l’accueil de madame Irène, les paroles susurrées, l’avenir prometteur avec Pietro, la belle Délice follement éprise de son amoureux savourait ses mots, entrevoyait un bel avenir chez madame Irène et un grand amour avec Pietro.
Cela faisait deux rendez-vous marqués par l’absence de Pietro, elle se précipita chez madame Irène espérant retrouver Pietro, mais la belle doté d’un atout imparable son opulente poitrine la gonfla sous l’effet de la très grande souffrance, la première déception d’amour. Elle eut alors soif de vengeance envers Pietro et s’exposer nue devant les hommes la réconciliait d’avoir été bafouée par Pietro.
Monsieur de Risquetou devait son galon de noblesse à un vague baronet sous Louis XIV Sauvés de la révolution française quelques biens lui donnaient une certaine aisance
Il voulait apporter une éducation stricte à ses enfants un héritage qu’il portait fièrement mais les garçons ne l’entendaient pas ainsi. Ils s’ébattaient bruyamment sans se soucier de l’autorité paternelle. Monsieur de Risquetou n’avait pas la bonne manière pour rétablir l’ordre lors des échauffourées de ses fils.
Des heures devant un ordinateur dans un cadre aseptisé où le silence était de règle monsieur de Risquetou tragiquement ressentait les cris de ses joyeux lurons de fils avec une résonance multipliée par cent. Son manque de confiance le desservait, il aspirait au calme à la paix au repos, et tous les soirs il subissait la loi des garçons, sa vie était un enfer.
Madame de Risquetou affublée de son tablier passait son temps dans sa cuisine ; Elle accusait son mari de tous ses déboires, sa fatigue, son visage flétri, une lourdeur aux jambes, une lassitude, une fatigue générale, des efforts vains. Dans l’intérêt général de tout le monde madame de Risquetou dans une grande désespérance, et devant l’incapacité de son mari de se faire obéir des garçons baissa les bras jusqu’en bas, tout en bas ! Elle s’installait dans la cuisine cherchait la paix ! Les enfants régnaient ! Ainsi les parents dans les moments calmes s’installaient dans leurs problèmes ne trouvaient rien à se dire. Devant les turbulences outrageantes des garçons monsieur de Risquetou eut des idées.
Mademoiselle Délice fleur de printemps, épanouie, trouvait dans son environnement bucolique une douceur tiède qui lui procurait une gêne, paralysait toutes les saveurs que générait son jeune corps. Elle s’ennuyait avec papa, maman, les chats, les chiens, les lapins. Elle en fit part à ses parents qui n’espéraient que le bonheur de leur petite fille ils lui firent confiance. Après les avoir rassuré leur avoir expliqué que son avenir était assuré et qu’elle ne manquerait pas de les voir les chers parents émus virent partir leur chère Délice le cœur serré : leur ange.
Un magot en poche que ses parents lui avaient donné, elle partit vers sa nouvelle vie
jeudi 18 novembre 2010 à suivre
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monsieur de Risquetou et mademoiselle Délice
Délice était au paradis avec Pietro main dans la main, l’accueil de madame Irène, les paroles susurrées, l’avenir prometteur avec Pietro, la belle Délice follement éprise de son amoureux savourait ses mots, entrevoyait un bel avenir chez madame Irène et un grand amour avec Pietro.
Cela faisait deux rendez-vous marqués par l’absence de Pietro, elle se précipita chez madame Irène espérant retrouver Pietro, mais la belle doté d’un atout imparable son opulente poitrine la gonfla sous l’effet de la très grande souffrance, la première déception d’amour. Elle eut alors soif de vengeance envers Pietro et s’exposer nue devant les hommes la réconciliait d’avoir été bafouée par Pietro.
Monsieur de Risquetou devait son galon de noblesse à un vague baronet sous Louis XIV Sauvés de la révolution française quelques biens lui donnaient une certaine aisance
Il voulait apporter une éducation stricte à ses enfants un héritage qu’il portait fièrement mais les garçons ne l’entendaient pas ainsi. Ils s’ébattaient bruyamment sans se soucier de l’autorité paternelle. Monsieur de Risquetou n’avait pas la bonne manière pour rétablir l’ordre lors des échauffourées de ses fils.
Des heures devant un ordinateur dans un cadre aseptisé où le silence était de règle monsieur de Risquetou tragiquement ressentait les cris de ses joyeux lurons de fils avec une résonance multipliée par cent. Son manque de confiance le desservait, il aspirait au calme à la paix au repos, et tous les soirs il subissait la loi des garçons, sa vie était un enfer.
Madame de Risquetou affublée de son tablier passait son temps dans sa cuisine ; Elle accusait son mari de tous ses déboires, sa fatigue, son visage flétri, une lourdeur aux jambes, une lassitude, une fatigue générale, des efforts vains. Dans l’intérêt général de tout le monde madame de Risquetou dans une grande désespérance, et devant l’incapacité de son mari de se faire obéir des garçons baissa les bras jusqu’en bas, tout en bas ! Elle s’installait dans la cuisine cherchait la paix ! Les enfants régnaient ! Ainsi les parents dans les moments calmes s’installaient dans leurs problèmes ne trouvaient rien à se dire. Devant les turbulences outrageantes des garçons monsieur de Risquetou eut des idées.
Mademoiselle Délice fleur de printemps, épanouie, trouvait dans son environnement bucolique une douceur tiède qui lui procurait une gêne, paralysait toutes les saveurs que générait son jeune corps. Elle s’ennuyait avec papa, maman, les chats, les chiens, les lapins. Elle en fit part à ses parents qui n’espéraient que le bonheur de leur petite fille ils lui firent confiance. Après les avoir rassuré leur avoir expliqué que son avenir était assuré et qu’elle ne manquerait pas de les voir les chers parents émus virent partir leur chère Délice le cœur serré : leur ange.
Un magot en poche que ses parents lui avaient donné, elle partit vers sa nouvelle vie