Il fut subjugué par mademoiselle Délice, honteux il essaya tant bien que mal de cacher son trouble à madame Irène, il frissonna son costume d’un beau tweed gris clair vibra sous l’effet salvateur de mademoiselle Délice, il chercha à retrouver sa dignité avec un regard interrogatif.
- Vous voyez monsieur de Risquetou (elle savourait la particule) nous avons les plus belles jeunes filles de Paris j’en suis fière. Monsieur de Risquetou sous l’effet de l’émotion s’était légèrement incliné jambes croisées les mains sur les genoux.
- Laissez moi penser Madame que la clientèle est à la hauteur des magnifiques jeunes filles que j’ai entrevues
- Pourrait il en être autrement Monsieur ?
- Veuillez me pardonner si j’ai été indélicat, sa curiosité éveillée, un désir impalpable… d’un geste à peine effleuré vers le bras de monsieur de Risquetou elle le rassura, poussa un soupir lourd de compréhension, cligna des yeux pleine de commisération.
- Madame : il toussota. Vous avez un sérail si j’ose m’exprimer ainsi d’un très haut niveau, monsieur de Risquetou se prit à rougir madame Irène acquiesça. Pourrais-je rencontrer la jeune fille ? Il hésita, s’il vous plait mais je vous demanderai qu’elle apparaisse légèrement très légèrement vêtue. Monsieur s’empêtrait dans les mots, j’aimerai faire sa connaissance.
- Elle va vous rejoindre comme vous le désirez ; quelques légères tapes avec ses mains un rideau s’entrouvrit un bonjour des plus gracieux à Monsieur et Madame quelques mots balbutiés à l’oreille de l’agréable jeune fille qui s’éloigna offrant de savantes ondulations avec son corps..
Le rideau tiré un tourbillon d’étoiles dans les yeux de monsieur de Risquetou mademoiselle Délice s’approche timide, gauche encore.
- Délice je vous présente monsieur de Risquetou il a exprimé le désir de vous rencontrer : Monsieur je vous laisse avec la très distinguée jeune femme Délice.
Madame Irène discrètement disparaît.
Melle Délice ne fut jamais aussi délicieuse qu’à ce moment là ; Monsieur de Risquetou s’était levé pour honorer la jeune femme, il l’invita à s’asseoir en face de lui pour goûter les émotions qu’elle générait, savourer cet instant qu’il pressentait incommensurable lui prit délicatement les mains les caressa, si douces les pressa les enveloppa dans les siennes les palpa, les porta à ses lèvres dut faire un effort surhumain pour maîtriser son désir, il ne pouvait s’en défaire les embrassa encore et encore le regard intense, sauvage.
Mademoiselle vous êtes belle j’ai un plaisir extrême à être avec vous je soupçonne que nous allons nous voir dans les mois à venir… ! Les années… ! J’ose espérer. Je vous aime vous remercie d’être sur mon chemin si vous voulez bien ça va de soi. Je vous remercie d’éclairer mon chemin de vie, la grisaille s’était installée en moi, vous m’apportez ce en quoi je ne croyais plus, le goût de continuer ma route et maintenant fou d’amour, fou de reconnaissance, de l’envie de vivre vous êtes Ma Dame.
- A suivre
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Commentaires
monsieur de Risquetou et mademoiselle Délice
26 /11/ 2011
Il fut subjugué par mademoiselle Délice, honteux il essaya tant bien que mal de cacher son trouble à madame Irène, il frissonna son costume d’un beau tweed gris clair vibra sous l’effet salvateur de mademoiselle Délice, il chercha à retrouver sa dignité avec un regard interrogatif.
- Vous voyez monsieur de Risquetou (elle savourait la particule) nous avons les plus belles jeunes filles de Paris j’en suis fière. Monsieur de Risquetou sous l’effet de l’émotion s’était légèrement incliné jambes croisées les mains sur les genoux.
- Laissez moi penser Madame que la clientèle est à la hauteur des magnifiques jeunes filles que j’ai entrevues
- Pourrait il en être autrement Monsieur ?
- Veuillez me pardonner si j’ai été indélicat, sa curiosité éveillée, un désir impalpable… d’un geste à peine effleuré vers le bras de monsieur de Risquetou elle le rassura, poussa un soupir lourd de compréhension, cligna des yeux pleine de commisération.
- Madame : il toussota. Vous avez un sérail si j’ose m’exprimer ainsi d’un très haut niveau, monsieur de Risquetou se prit à rougir madame Irène acquiesça. Pourrais-je rencontrer la jeune fille ? Il hésita, s’il vous plait mais je vous demanderai qu’elle apparaisse légèrement très légèrement vêtue. Monsieur s’empêtrait dans les mots, j’aimerai faire sa connaissance.
- Elle va vous rejoindre comme vous le désirez ; quelques légères tapes avec ses mains un rideau s’entrouvrit un bonjour des plus gracieux à Monsieur et Madame quelques mots balbutiés à l’oreille de l’agréable jeune fille qui s’éloigna offrant de savantes ondulations avec son corps..
Le rideau tiré un tourbillon d’étoiles dans les yeux de monsieur de Risquetou mademoiselle Délice s’approche timide, gauche encore.
- Délice je vous présente monsieur de Risquetou il a exprimé le désir de vous rencontrer : Monsieur je vous laisse avec la très distinguée jeune femme Délice.
Madame Irène discrètement disparaît.
Melle Délice ne fut jamais aussi délicieuse qu’à ce moment là ; Monsieur de Risquetou s’était levé pour honorer la jeune femme, il l’invita à s’asseoir en face de lui pour goûter les émotions qu’elle générait, savourer cet instant qu’il pressentait incommensurable lui prit délicatement les mains les caressa, si douces les pressa les enveloppa dans les siennes les palpa, les porta à ses lèvres dut faire un effort surhumain pour maîtriser son désir, il ne pouvait s’en défaire les embrassa encore et encore le regard intense, sauvage.
Mademoiselle vous êtes belle j’ai un plaisir extrême à être avec vous je soupçonne que nous allons nous voir dans les mois à venir… ! Les années… ! J’ose espérer. Je vous aime vous remercie d’être sur mon chemin si vous voulez bien ça va de soi. Je vous remercie d’éclairer mon chemin de vie, la grisaille s’était installée en moi, vous m’apportez ce en quoi je ne croyais plus, le goût de continuer ma route et maintenant fou d’amour, fou de reconnaissance, de l’envie de vivre vous êtes Ma Dame.