07/05/2012 Anesthésie
Je suis encore sous l’effet de l’anesthésie de ma dernière dent de sagesse : rien de grave en soi ! Pourtant je suis fatiguée, sans trop l’envie de travailler un peu hébétée. Je vais chercher au tréfonds de mon imagination des sujets qui m’envoient dans des interrogations, des réflexions. Pardonnez-moi mes amis de présenter cet étrange travail, ces étranges formes que j’essaie de décrypter, ce casse-tête a au moins l’avantage de me faire oublier ma fatigue.
Voilà, je vous présente deux sujets, à vous de leur donner un nom. Je suis nonchalante Lucie près de moi rassurée dort, j’ai envie de ne rien faire, laisser couler le temps, ne rien faire seulement bouger de mon canapé à l’ordinateur et vice- versa, écouter le tic-tac de la pendule, ne pas penser, éviter la liquéfaction de mon cerveau alors pour l’éviter je vais dans mes imaginations. Voyez-vous le dessin imaginé avec l’ordinateur comme outil avec la facilité qui est offerte stimule mon imagination et leur étrangeté égaie mon cœur.
Il y a déjà longtemps ! Je m’amusais à dessiner les yeux fermés : c’est étonnant ce que l’on sort sous l’effet de la concentration, avec l’ordinateur j’envoie des lignes loin du champ d’action, c’est peut-être ce qui me pousse à chercher encore et encore, active mon imagination la pousse au-delà de ce que l’on peut imaginer.
Liliane Boyrie