« janvier 2011 | Accueil | mars 2011 »
Rédigé par Boyrie à 13:48 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
Rédigé par Boyrie à 16:42 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
Je me laissais prendre par le soleil
Je me laissais prendre par le soleil, je calais ma tête mes reins. Portée par une paresse par l’envie de méditer que je boudais trop souvent je me laissais aller vers des divagations qui anéantissaient toute envie de penser et m’envoyaient vers un sommeil bienfaisant, près de moi un chat moitié somnolent le parfait compagnon de ce moment.
Dans un carrosse enchanté où je me laissais emporter bercée par les souvenirs des quelques dernières années dans un flou artistique je tentais de saisir les moments où la perception des êtres m’avait amené à les deviner, des situations qui renaissaient. Le soleil se cachait me plongeait dans un brouillard que je cherchais à dissiper.
Je n’imaginais pas les bienfaits qu’il m’apportait lorsqu’il renaissait dans ses apparitions en ce jour. Je remerciais cet astre qui me redonnait la vie ;
Liliane Boyrie 27-02-2011
Rédigé par Boyrie à 12:46 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
Rédigé par Boyrie à 22:04 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
25-02-2011
La table bien organisée où chacun à un vis-à-vis pour parler : David face à Candide, le Curé face à Eloi Joseph à ses cotés, Marguerite face à Agathe.
J’ai contacté le maire pour une histoire qui m’ennuie notre cimetière est trop petit : la population a augmenté, des tombes plusieurs fois centenaires abandonnées vont disparaître je le regrette mais qu’y faire Eloi ! Il faut voir ce cimetière le vicomte de Brisedouce est enterré là un joyau d’architecture une magnifique petite chapelle, la commune l’a prise en charge
- Alors curé qu’est-ce que vous me voulez encore !
Le maire tient les fonds que voulez-vous nos regards divergent, c’est un brave homme qui tente de plaire.
Il y a quelques autres tombes La grande noblesse de l’Anjou.. C’est à voir.
- Agathe je persiste vous êtes une parfaite maîtresse de maison, c’est ici où je respire ce délicieux parfum qu’en pensez-vous ? Ce parfum léger A ! Joseph vous êtes un homme comblé parmi toutes mes ouailles que j’aime c’est là où je respire la bonne odeur : les délices de notre Agathe. Alors mes amis je bavarde…parlez moi Eloi de vos distractions dans notre belle capitale, Marguerite vous allez au théâtre, aux conférences vous êtes gâtés ; J’ai des amis prêtres qui me donnent des nouvelles qu’ils glanent dans le journal le Monde j’ai des relations avec l’Evêque que je vois de temps en temps.
- Comme vous Pierre je suis sensible aux délices d’Agathe qui nous accompagnent partout. N’est-ce pas Marguerite
- Je n’ai pas les dons de Maman ni le temps.
- Alors les garçons qui a remporté la partie,
- C’est lui.
- Qui lui.
- Candide
- La prochaine fois ce sera toi David.
Parmi vos distractions laquelle préférez-vous Eloi?
- La marche, je marche sans but précis
- Marguerite, vous suivez ?
- J’aimerais.
Nous avons conclu tous les deux d’avoir notre liberté après le travail : je suis un infatigable marcheur d’une curiosité insatiable, je vais dans des quartiers difficiles où il ne serait pas convenable d’amener Marguerite, des rues curieuses des maisons peu convenables même effleurées du regard pour ma chère Marguerite vous me comprenez … je découvre Paris dans mes marches très instructives. Je ne crois pas que Marguerite puisse me suivre ?
- Pourquoi pas !
- Coucou !
Madame Ragoutot entrez donc, venez prendre un café.
- Je passais voir le père Justin, vous me voyez très gênée de vous déranger de vous donner quelques peines veuillez me pardonner vous êtes extrêmement gentils, allègre et souriante elle salue tout le monde.
- Comment allez-vous les parisiens : tu te souviens Marguerite de Justin qui vendait ses caramels que sa femme faisait A ! Monsieur le curé quelle souffrance de ne pas avoir un sou pour en acheter ! Puisque vous êtes là, j’aimerais vous voir c’est au sujet du catéchisme.
- Je passerai chez vous dès que possible Josiane.
Eloi vous êtes toujours si.. Allez quoi dire pour exprimer mon admiration tu peux dire que tu es chanceuse Marguerite.
Les papotages de madame Ragoutot, écoutés, approuvés avec des hochements de tête, les malheurs de madame Ragoutot que tout le monde écoute avec attention, commisération , monsieur de Risquetou avec une volonté évidente de l’écouter étouffe un bâillement.
Le Curé donne le signal du départ se lève suivi par tout le monde
- Je dois aller me rendre compte je vais au cimetière.
- Qui me suit ?
- Vous venez avec moi Eloi ?
- Oui : pourquoi pas.
- Et vous Joseph ?
- Ne m'en veuillez pas je reste avec ces dames
- Mesdames l’invitation est de pure politesse madame Ragoutot a de sensationnelles nouvelles à vous apprendre ; merci Agathe pour cet excellent repas, un vrai délice. Rendez-vous à la messe dimanche mes amis. .
Rédigé par Boyrie à 12:53 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
Précieux secret
Elle voulait extirper de mon âme le précieux secret bien enfoui dans un tiroir caisse de mon coeur où elle croyait trouver toutes les richesses du monde. Elle annonça sa visite avec son portable qui ne la quitte pas, nos portables contre l’oreille nous savourions notre rencontre. La journée ne fut pas différente des autres, je l’accueillis avec tendresse.
- Bonjour mon amie, j’étais à une centaine de mètres d’ici je n’ai pu résister à passer, comment vas-tu ?
Je percevais un désir d’aller au-delà de l’autre fois, l’autre, l’autre fois, toutes les fois où elle m’écoutait avec une infinie patience pour enfin trouver le secret.
- Voilà chérie ma semaine a été particulièrement éprouvante c’est fou comme les petits soucis ménagers peuvent te gâcher la vie. J’ai passé mon temps à éponger le sol : ce fut la machine à laver la vaisselle puis le frigidaire, j’ai du faire une gymnastique avec mon ordinateur pour résoudre des problèmes qui m’ont épuisé, ce matin j’ai arrosé mes plantes maintenant tu es là qui fouille en moi. Je lançais un soupir d’incompréhension de désolation qui se mélangeaient puis un autre et un autre elle m’imita, nous soupirions ensemble tant et tant que nos soupirs se mélangeaient en appelant d’autres qui nous enfonçaient au plus profond de la terre. Elle tendit son cou vers moi battit deux fois des paupières ce qui me déclancha un fou rire qui la laissa pantoise malgré des efforts désespérés pour garder sa dignité elle partit d’un fou rire et cela dura quelque temps assez pour retrouver la raison.
Nous attrapons nos mains pour bien s’assurer de nos retrouvailles nous nous serrons les mains, fortes de notre attachement de notre résurrection.
Liliane Boyrie 2011 02 23
Rédigé par Boyrie à 20:02 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
Rédigé par Boyrie à 19:14 | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
2011-02-19
Rédigé par Boyrie à 21:55 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
Sur mon divan où j'essayais de me reposer
Sur mon divan où j’essayais de me reposer je dus m’arracher la sonnerie du téléphone me sortit de ma rêverie – C’est moi chérie : je vais dans ton secteur cette après midi, j’ai du temps libre puis-je passer sans te déranger ? Oui, viens.
Je repris ma place, tentai de m’assoupir mais la visite de mon amie m’en empêchait je retournai à mes occupations en l’attendant.
Elle se présenta quelques moments après.
Il s’était installé dans mon esprit une amie où un besoin de percer un mystère qu’elle entrevoyait chaque fois dans ses apartés avec moi mais qui lui échappait la rendait attachante. Ma grande amie a des connaissances sur la nature humaine qu’elle cherche à approfondir si supérieures aux miennes que malgré moi, peut-être par l’instinct de protection le désir de ne pas me dévoiler de la dérouter j’amplifiais en imaginant des questions des interrogations qu’elle pourrait se poser
Sur son visage je lisais l’attachement sincère celui sur lequel on peut compter qui vous apaise vous libère des tracas des soucis trop prégnants.
- Comment va ma grande amie ?
- Bien chérie tu es là.
Elle me fixa longuement pour faire naître mon histoire.
- Tu es très belle et aujourd’hui particulièrement tu sembles habitée par de nobles pensées, je suis là avec toi elle m'effleura la main pour bien s’en assurer ; j’aimerais que tu m’écoutes, me vois-tu ? Tu es ailleurs fais un effort bien sûr tu m’écoutes tu me vois, et si nous parlions ensemble mon amie.
Un sourire où teintait une légère moquerie, un pli légèrement arrogant bordait doucement ma lèvre, un regard coquin.
Elle me foudroya d’un regard perçant ;
- La grande surface
Elle me regarda éberluée.
- Oui la grande surface.
Elle connaissait son amie cet être la fascinait l'accompagnait dans ses moments de doutes elle savait que le moindre écart pouvait être fatal elle garda le silence.
- Les magasins qui bordent les rues commerçantes me laissent indifférente.
- Pourquoi la grande surface ?
Elle me regardait plutôt ne me regardait pas de peur de m’effaroucher, attendait.
- C’est le mélange des gens avec les rayons j’ai le sentiment d’être sur une autre planète une planète merveilleuse pleine de rêves chérie.
- La grande surface !
J’aime les grandes surfaces, c’est un moment libératoire je lui pris ses deux mains pour lui communiquer la chaleur de mes pensées lui exprimer mon attachement.
Elle poussa un soupir immense, je ne sus s’il était de compassion d’incompréhension de doute d’inquiétude.
- j’ai besoin de réfléchir chérie je t’aime.
Elle m’enveloppa d’un regard perplexe qui me fit partir dans un fou rire elle poussa un immense soupir qu’elle termina par un hochement de tête qu’elle termina par un fou rire contagieux ; puis nous nous quittâmes jusqu’à une prochaine fois.
Liliane Boyrie 15 02 2011
Rédigé par Boyrie à 10:26 dans Alésia | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
12 02 2011
Joseph tire sur sa pipe par petits coups savoure, approuve par petits coups tirés la sort de sa bouche la regarde frappe doucement le tuyau pour le plaisir la reprend la convoite la regarde amoureusement..
- Vous avez une bien jolie pipe.
- Oui elle est en bruyère de première qualité, le regard Eloi, le regard ? Voyez la belle courbe du tuyau et la couleur qu’en dites-vous ?
- C’est un plaisir n’est-ce pas.
- Essayez Eloi c’est une décontraction vous pouvez atténuer vos angoisses, c’est une bonne thérapie sans ma pipe je suis orphelin : voyez-vous Eloi vous êtes jeune à mon age on a besoin d’un dérivatif pour moi c’est ma pipe mais vous Eloi vous avez l’enthousiasme le goût de la vie une activité une ouverture au monde à la retraite les contactes se perdent, les contactes professionnels je parle je remplace ces manques avec ma pipe : vous m’en direz des nouvelles. Les volutes de fumée se dispersent autour d’eux s’envolent en légers tourbillons accompagnent Eloi et Joseph.
Eloi fixe les volutes.
- Vous êtes pensif Eloi, je connais les bienfaits de la pipe votre imagination s’envole avec la fumée c’est un délice, ce serait excellent pour votre travail assez stressant Vous semblez intéressé ;
Les yeux fixés sur les volutes Délice sa Délice ne lui a jamais paru aussi belle il en a le souffle coupé, elle danse se joue des arabesques s’envole avec la fumée apparaît disparaît réapparaît il la cherche doit arrêter sa main pour la saisir, intensément il fixe la fumée qui s’évapore doucement emportée par le vent, il saisit le bras de joseph.
- Permettez Eloi que je vous face cadeau d’une pipe.
- C’est très gentil à vous mais je crains de ne pas être à la hauteur de ce magnifique instrument.
David et Candide avec le chien Bambi gambadent par- ci par- là.
Agathe avec sérieux, plénitude attrape pose les plats les casseroles Marguerite fait son possible pour l’aider.
- Sois tranquille ma chérie j’ai l’habitude.
J'ai une vie active, nous avons des devoirs les uns envers les autres, j'aide le curé de la paroisse il est débordé le cher homme il vient nous voir peut-être là va-t-il venir il sait que vous êtes là. Autrement nous sommes invités chez le pharmacien Lamou tu le connais maintenant ils approchent de la retraite tous les deux, les braves Ragouteau tu sais celui qui nous portait le courrier ils sont charmants sa femme était cuisinière dans un grand restaurant à Angers elle m’apprend des recettes, tu te souviens des Etourno ils étaient professeurs de gymnastique dynamiques toujours plein d’entrain, il y a aussi les Apathi très plaisants. Nous les voyons régulièrement.
Marguerite cherche les allumettes
- Tu sais où sont les allumettes ?
- Ton père ne peut s’en passer avec sa pipe... elles sont là contre le mur.
Je trouve Eloi en forme vous avez prévu quoi pour les vacances ?
- L’Italie mais j’ai peur qu’il s’ennuie
- C’est si beau.
Maman que fais tu là ?
- Une blanquette Héléne m’a donné la recette c’est une blanquette turc tu verras tu parais étonnée oui, elle est turc : goutte.
- Excellent.
N’oublie pas de me donner la recette.
- Tu es toujours belle Marguerite. Eloi et toi forment un beau couple, les enfants ?
- Ca va Maman tout va. Je mets le couvert. .
Rédigé par Boyrie à 19:22 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
Rédigé par Boyrie à 15:52 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
Rédigé par Boyrie à 15:28 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
Rédigé par Boyrie à 22:06 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
. 2011 02 5
La visite à ses beaux parents impatiente Monsieur de Risquetou.
- Allez ! Les garçons on met le couvert vite, plus vite que ça.
- Eloi ? Tu es allé à la banque ?
- Pourquoi tu me poses toujours des questions qui m’irritent Non.
- C’était entendu pourtant !
Marguerite élégante dans son habit d’intérieur.
- Chérie pourrait tu baisser le son s’il te plait.
- Tu peux l’éteindre.
A table Monsieur et Madame de Risquetou Candide et David leurs fils s’appliquent à bien respecter les règles de bonne conduite : manger sans bruit, mâcher avec application prendre la fourchette le couteau doucement, les mains posées sur la table attendre patiemment les plats, laisser la parole aux parents, répondre à l’invitation de s’exprimer, c’est la routine qui s’est installée subrepticement. Ils sont accueillis partout avec respect estimés par la noblesse, appréciés pour leur courtoisie leur morale, d’un bon niveau intellectuel, une prestance, une qualité de mots, ils ont acquis des privilèges, un couple que l’on admire et qu’on recherche pour leur élégance et leur contacte facile
Monsieur de Risquetou montre à madame tout le respect qu’il lui porte en la vouvoyant
- Dans un regard circulaire : ma chère je vois que vous organisez bien comme d’habitude, bonne Maman et bon Papa seront ravis de vous voir dans tout votre éclat.
- Je suis désolée si j’avais un reproche à me faire et si je ne voyais pas dans les yeux de mon époux la lassitude qui s’exprime dans chaque pore de sa peau mon ami chaque fois que nous partons, cette langueur, cette fatigue ce manque d’élan à coopérer avec moi, voyez mon ami plus de simplicité cela pourrait nous rapprocher ne croyez-vous pas ? A votre actif je vous trouve rajeunis vos promenades avec Céleste vous sont salutaires : c’est une réussite pour nous tous.
Les dames Risquetou et Céleste s’entretiennent de leur mari dans leurs petites échappées
Monsieur de Risquetou quitte à regret la capitale : les belle randonnées dans la province l’ennuient, les richesse du patrimoine français l’ennuient, les week-end chez les beaux parents sont une épreuve qui le casse : il s’ennuie
.- A quelle heure veux tu partir Marguerite moi je proposerais trois heures de l’après midi, ça te convient ?
- Ca me convient.
Entourés de tuyaux d’échappement
- Quelle atmosphère !
Sur la route du week-end dans la voiture, ceinturés devant derrière péniblement ils sortent de la capitale prennent la direction d’Angers Madame suit attentivement la conduite c’est une habitude dont elle ne peut se défaire.
Le volant dans les mains il pense à Mademoiselle Délice à la maison de passe de la très distinguée madame Irène, à Madame Irène..
Monsieur et Madame Déroute jeunes retraités ont un plaisir à recevoir leurs enfants petits enfants. Ils n’ont pas assez de leurs quatre mains pour préparer tout ce que la bienséance leur dicte Leur gendre monsieur de Risquetou les honore aussi rien n’est assez beau : une odeur de cire amène à respirer profondément envoie vers un magnifique parquet une pelouse entoure la maison au pas de la porte un fox terrier dresse ses oreilles au moindre bruit son bon regard vous appelle à le caresser.
Agatha et Joseph occupent leur temps de jeunes retraités dans des œuvres de charité, en bons croyants ils ne manquent pas la messe du dimanche leur situation de bons fonctionnaires les mettent à l’aise.
Avec gratitude et respect ils acceuillent leur très honorable gendre.
.
Rédigé par Boyrie à 19:31 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
Rédigé par Boyrie à 19:03 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
Rédigé par Boyrie à 16:14 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
Rédigé par Boyrie à 16:10 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
Rédigé par Boyrie à 16:05 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
2011-01-31
Une chope de bière entre amis en amène une autre Céleste machinalement cligne des yeux vers une svelte jeune fille, accompagnée de son ami celle-ci prend place près d’eux ; Eloi s’élève vers des pensées gaillardes. Les copains curieux s’approchent forment un groupe dynamique. Les deux amis coopèrent séduisent les jeunes filles Eloi en accroche une : les deux hommes de belle prestance plaisent aux ados, grands minces bon chic bon genre une patine de bonne éducation donne un courant qui échauffe ces demoiselles.
- Qu’est-ce que tu fais toi dans la vie ?
- Et toi ?
- J’étudie.
- Quoi ?
- La médecine, je suis en première année.
Elles bousculent leurs copains pour voir.
- On pourrait se revoir non ! Tu fais quoi dans la vie ? T’es cravaté, t’as vu l’ambiance ici ? Ton job est de très haut niveau, ton costume bien taillé, le tissu… te méprends pas je ne suis pas une tournante, j’ai mon bac je suis en première année de médecine bosse beaucoup malgré les apparences, tout semble dire que chez toi tu es un intellectuel. J’ai pris la médecine mais trop sensible aux odeurs je dois arrêter Tu as une idée d’un job où l’on gagne bien sa vie et qui ne pue pas. La médecine faut un estomac en béton, là, je suis déconnectée rien que d’y penser mon estomac chavire. C’est pas mon job ; je me souviens être tombée dans les pommes dans un hôpital : c’est vrai j’étais môme
Devant la qualité de travail, les responsabilités, la satisfaction, tu vois ce que je veux dire… le respect, l’estime, le niveau où les gens te montent. C’est l’exemple d’une amie médecin et les parents si fiers d’une fille doc. qui m’ont fait céder mais tu comprends il faut la foi, un don de soi, je ne peux pas : ces cachotteries, ces comédies, cette intelligence multiple toutes ces devinettes tout ce bonheur, malheur dont tu es porteur et ces pauvres gens qui te regardent comme un Dieu. Comme toi maintenant tu me regardes tu m’épies tu veux savoir plus, plus toujours, tu guettes mes réactions ton silence exige, savoir la suite. Ton silence est évocateur de beaucoup de choses puis dans une moue adorable, tu veux savoir ?
- Je ne le dirai pas : ton nom ?
- Eloi.
- Et toi ?
- Virginie je vais devoir rentrer chez moi je viens d’avoir dix huit ans, toi ?
- Trente six bientôt
- Tu ne m’as rien dit mais ça fait rien Ciao ! Je suis là le même jour à la même heure
- Ciao !
Il voit sa bière qu’il regarde qu’il boit invite son ami à se lever. Ils prennent des rue qui les amènent chez eux s’arrêtent devant des devantures, découvrent ce qu’ils n’avaient pas vu la veille. Céleste prend une direction Eloi une autre.
- Allo maman ! Oui Marguerite : bon demain oui ma chérie : avec les enfants : Eloi … Bon il vous accompagne : vendredi soir d’accord.
Le grand déballage des veilles de vacances fait la joie des garçons.
- Maman regarde, je peux amener ça ? Il brandit un polo usé troué.
- Oui tu fais ta valise : tu mets l’essentiel ta valise doit tout contenir o k !
- David ça va ? Oui maman : valise fermée tout gaillard la porte à sa mère
- C’est bien David
- Candide ça marche ?
- J’ai presque terminé.
Nous partons demain, votre père va arriver soyez calme.
.
Rédigé par Boyrie à 11:57 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
| |
|
Les commentaires récents